Élise 6
(…) Élise se remet de ses émotions. Martin en fait tout autant. Ça a été… foutrement bon. Là. Le calme revient après la tempête. Pour combien de temps? Elle ne le sait pas. Lui ne le sait pas non plus. Ce qu’ils savent par contre, c’est qu’ils s’entendent bien au lit et qu’il n’y a pas de problème. Mieux! Ils n’ont même pas eu besoin de se parler à certains moments. Il ne leur suffisait que de sons et/ou de regards. Les lèvres et la langue de la femme ont rendu l’homme faible. Il a plié… et il a fini par rompre. Élise est on-ne-peut-plus fière. Elle l’a entendu… Il a aimé cette turlutte. Et quand il l’a prévenue qu’il était «tout près», que «ça venait»…. Élise a pris chaud. Elle le voulait, le jus de son sucre d’orge. Alors, tout en le masturbant, elle est allée et venue sur le gland. Et puis… Le cri de l’homme, foudroyé par l’orgasme, résonne dans les oreilles de la femme. Ça a été un boucan à réveiller les morts. Mais ça voulait dire ce que ça voulait dire. Ça a été… bon. Et ELLE l’a...