Amour en musique 19
C'était comme plus tôt dans la soirée.
Laura s’était allongée sur le dos. Elle était confortablement installée.
Son corps magnifique épousait à merveille ce lit sur lequel elle avait
déposé tous ces pétales de rose avec amour. Quand elle avait fait ça, au
moment où ces amis étaient partis en week-end pour la belle cité
phocéenne, c’était avant notre concert au Café des Amours mortes.
Lorsqu’elle avait commencé à mettre en place son piège d’amour et de
sexe, Laura m’imaginait… nous imaginait dans la maison, au moment
fatidique… et elle avait ressenti tout plein de papillons dans son
ventre. Ça avait été une sensation étrange mais agréable. À ce
moment-là, elle avait ressenti en elle une forte, intense envie de se
caresser, de se masturber, de se donner du plaisir. Ça n’avait pas été
facile pour elle, mais elle avait réussi à prendre le dessus sur ses
désirs. Pourquoi ? Parce qu’elle voulait se donner entièrement à moi !
Ni plus, ni moins. Elle voulait, plus que tout, que nous soyons corps et
âme et sexe, tous les deux.
Et… à présent...
Right Here Waiting de Richard Marx...
Laura me regardait fixement. Avec insistance.
Elle était allongée.
Elle était belle.
Moi aussi, je la regardais avec intensité, et je voyais qu’elle se
sentait bien, en ma compagnie. Mais… Elle me regardait bien, elle, avec
insistance, et elle ne lâchait pas mes yeux. Elle se caressait les
seins. Elle les avait pris dans ses mains. Elle les malaxait. Elle les
massait. Et, au moment où je m’y attendais le moins, elle a desserré
l’étreinte sur l’un d’eux, sur son sein gauche. Elle s’est emparée de
son sein droit et l’a approché… de sa bouche. Puis, elle porta ce beau
sein à l’aréole large, rose… à sa bouche. De sa langue, elle s’en
caressa le téton. Puis, ce fut au tour de ses lèvres de prendre le
relais.
Laura haleta parce qu’elle se donnait du plaisir. Ses gros seins étaient bien sensibles, il faut dire…
– Tu vois comme je suis excitée, Benoit ? Je n’en peux plus… Je veux de nouveau sentir ta queue en moi… S’il te plaît...
Je crois bien que je n’ai pas laissé Laura terminer sa phrase. J’ai
quitté la position que j’avais momentanément prise, à savoir que j’étais
dans le sens inverse de Laura sur le lit, et que je lui faisais face.
J’avais été à genoux, dans la position du missionnaire, et j’avais été à
deux doigts de faire coulisser mon pénis contre le sexe délicieusement
chaud, mouillé et excité de ma partenaire rousse. Je voulais recommencer
ainsi à lui donner du plaisir pendant un bref instant… avant que je ne
me remette en elle.
Je me suis donc couché sur elle. Laura m’a accueilli tout contre elle.
Elle m’a caressé les cheveux. Elle a ensuite posé une main sur mon
visage. Sur ma joue. Elle a fait un tout léger mouvement de tête, dans
ma direction, pour se rapprocher de mon visage : Laura avait envie d’un
baiser. J’ai donc fait la même chose, et nos bouches se sont de nouveau
rencontrées. Nous nous sommes embrassés langoureusement. Nous étions en
train de goûter et de jouir du moment présent. Il n’y avait rien d’autre
qui comptait.
Diras que estoy loco de Miguel Angel Munoz…
Laura avait toujours sa main posée tendrement sur ma joue. Nous avions
interrompu notre baiser. Nous nous contentions de nous regarder. C’était
beau, comme moment. C’était parfait.
Puis, nous nous sommes mis à nous donner de tout petits baisers. Du bout
des lèvres. Des petits baisers, peut-être tout simples, mais qui en
disaient long sur le désir et l’amour que nous nous portions et que nous
ressentions l’un pour l’autre.
Puis, je ne sentis plus sa main sur ma joue. Laura la posa sur ma nuque…
Elle posa ses deux mains dans mon dos… Le long de ma colonne
vertébrale… Sur le bas de mes reins… Sur mes fesses… Ma peau… Laura
l’effleurait… La touchait… La caressait… La titillait… La pinçait tout
doucement… La massait… La malaxait…
Je me sentais bien.
J’étais à elle.
J’avais le sexe collé à son ventre.
J’ai de nouveau approché mon visage du sien. J’ai posé une main, de
nouveau, sur la joue rose pâle de Laura. J’ai glissé mes lèvres sur les
siennes, cerise, et je les ai faites mouler, les unes sur les autres.
Tandis que l’on se bécotait, on se regardait.
J’ai de nouveau cessé d’embrasser Laura. Cependant, je laissais mes lèvres toutes proches de celles de ma très jolie partenaire.
Et… Je lui ai répondu…
– Tes désirs sont des ordres, Laura… Ce n’est que pur délice d’être en toi et de te faire l’amour…
Sur ces mots, Laura se mit à glousser, et, dans le même temps, à se
tortiller sous moi. À onduler du bassin dans le but de se frotter à moi.
Moi, je repris ma position de tout à l’heure, sur mes genoux, accroupi, en missionnaire.
J’ai pris mon pénis par la tige, de ma main droite.
Je me suis mis à le faire frotter et coulisser contre la chatte de Laura.
Laura se mit à gémir bruyamment.
Holyanna du groupe Toto...
Elle se mit à se saisir de mes fesses à l’aide de ses mains, et ce, pour
que je m’enfonce de nouveau en elle. C’est alors que je l’ai pénétrée,
en missionnaire… Et que je me suis allongé sur elle, mon corps tout
contre le sien, à fleur de peau.
C'était à mon tour, désormais, de prendre le dessus, si l'on pouvait
dire, sur Laura. C'était moi qui la chevauchais. Elle était allongée sur
le dos, ses longs cheveux roux lâchés sur l'oreiller, tout contre les
pétales de rose dispersés d'un bout à l'autre de ce lit où nous faisions
l'amour. Quant à moi, j'étais en position accroupie, et j'étais entre
ses jambes écartées. J'étais bien. Oh... oui.
Tout en continuant de la pénétrer et de lui faire l'amour, en
missionnaire, je voulais maintenir un contact visuel permanent avec ma
jolie Laura. J'y tenais, plus que tout. C'était à elle que je faisais
l'amour. Laura. Pas à une autre.
Black Star Dancing de Noel Gallagher...
Laura avait ses mains posées sur mes flancs. Elle me les caressait. Tendrement. Doucement.
Elle ne s'arrêtait jamais de me regarder profondément, intensément, dans
les yeux. Je voyais à ses beaux yeux qu'elle était émue. Cette émotion
avait définitivement pris possession d'elle. Ça oui! Et cette émotion,
alors que j'étais allongé sur elle et que je lui faisais l'amour avec ce
rythme devenu régulier qui nous était propre, la mettait encore plus à
nu.
Laura était définitivement... corps et âme et sexe avec moi.
Elle me caressait les flancs. Elle me caressait les côtes. J'avais beau
être chatouilleux d'ordinaire, là... Laura, une fois de plus, savait y
faire avec un homme. Elle ne me brusquait pas. Non... Elle, c'était à
mon bien-être, mon épanouissement, mon plaisir, ma jouissance, mon
orgasme, qu'elle pensait en premier. Elle, quand elle faisait tout ce
dont elle était capable de faire pour donner du plaisir à son partenaire
et... jusqu'à lui faire atteindre le septième ciel, elle était la plus
fière des femmes.
J'allais et je venais en Laura. Laura me touchait et me caressait le bas
des reins, les côtes. Elle le faisait pour que je me sente bien. Elle
le faisait pour que je maintienne ce rythme. Elle le faisait pour que je
continue d'aller et de venir en elle comme je le faisais. Elle le
faisait pour que je continue de lui faire l'amour. Elle, Laura, elle
aimait faire l'amour ainsi... Quand elle était avec un homme et qu'ils
couchaient ensemble, elle aimait beaucoup ça, Laura: se dépenser au lit
sans compter ses efforts, se donner corps et âme, rien qu'à cet homme.
Cette fois, ce lit, cet homme. Elle, Laura, elle aimait faire l'amour
ainsi... Quand elle était dans le feu de l'action et qu'elle se sentait
bien au lit avec un homme, elle aimait beaucoup ça, Laura: séduire cet
homme par tous les moyens possibles et inimaginables, maintenir ses yeux
dans ceux de cet homme, sans arrêt. Cette fois, ce lit, cet homme.
Sleepless du groupe King Crimson...
J'allais et je venais en Laura, en rythme. La... Les sensations de mon
sexe dans son vagin tout mouillé, éclos, étaient exquises. Mmmmh...
Pfiou... J'y étais si bien. Là, c'était moi qui me tenais au-dessus
d'elle et qui la surplombais. Je la chevauchais. Par moments, le rythme
était lent, moelleux, sensuel. Je lui faisais l'amour. À d'autres
moments, le rythme était accéléré, frénétique, bestial. Je la baisais
comme elle me l'avait demandé. Et... ça lui plaisait que j'alterne.
Laura était d'une sensualité... Débridée. Son corps était magnifique.
Son appétit sexuel était insatiable, surtout lorsqu'il était question de
moi. C'était simple: elle perdait tout contrôle dès qu'il s'agissait du
claviériste de ce groupe de rock parisien, les "Princes of the
Universe", ce Benoit. Elle était tout en émois. Elle n'était plus qu'une
boule de désir, dès lors. C'était tout simplement impossible qu'elle se
calme et qu'elle refrène ses ardeurs. Elle se touchait. Elle se
caressait. Elle se masturbait. Elle se pénétrait. Elle jouissait. Et
c'étaient ça, ces sensations auxquelles elle mourait d'envie de
regoûter, plus que tout, depuis notre rencontre dans notre petite loge
du Café des Amours mortes.
Come Alive du groupe FMLYBND...
Par moments, Laura posait doucement ses mains sur mes flancs, sur le bas
de mes reins, et elle me les caressait. Elle me les massait. Ça avait
pour effet de me faire du bien, de me mettre à l'aise, de me détendre.
À d'autres moments, Laura aimait bien varier ses caresses et préférait
alors poser ses mains sur mes omoplates, sur mes épaules. Ça avait pour
effet qu'elle maintienne cette fameuse emprise qu'elle avait sur moi
depuis notre rencontre. J'étais et je restais sa chasse gardée. De par
ses gestes, Laura voulait que j'aie confiance en elle. Elle me faisait
tout aussi comprendre qu'elle voulait que je continue de lui faire
l'amour... de la baiser, comme je le faisais. Tout ce que l'on
faisait... Toutes les initiatives qu'elle prenait délibérément... Ça
faisait partie de tout ce processus d'initiation auquel elle voulait me
convertir. Oh... oui.
Au plus profond d'elle-même, Laura se sentait comme mon initiatrice.
Non! Elle ÉTAIT mon initiatrice! La seule. Il ne pouvait pas en être
autrement. Elle avait été la seule qui avait su comment me parler,
comment m'aborder. Elle avait été la seule qui ait ouvert ma boîte de
Pandore, et qui ait levé le voile sur mes désirs sensuels et sexuels
refoulés.
J'allais et je venais en Laura. Ma belle Laura... Ah la la la la...
J'avais succombé à elle. À son charme. À ses charmes. Très nettement. Je
lui faisais l'amour. Je continuais. Quand soudain...
Je ne sentis justement plus les douces mains, chaudes, roses, de Laura
sur mes épaules. Non... Elle les avait reposées sur mes côtes, là, sur
mes flancs. Ça, ça a été brièvement. En effet... Comme je l'avais fait
lorsque ça avait elle qui était au-dessus de moi, à califourchon,
Amazone, Andromaque, là, elle s'était mise délibérément à m'entourer de
ses bras et à s'arrimer à moi.
J'ai levé les yeux et j'ai plongé mes yeux noisette dans ceux de Laura.
Laura, elle, avait les yeux brillants. Au bord des larmes. Mais des
larmes d'émotion... et de bonheur. J'étais à elle. En elle. Et nous
avions bien l'intention d'en profiter. Laura posa alors l'une de ses
mains sur ma joue. Son autre main, elle la passa autour de mon cou.
Laura... était en train de me presser tout contre elle!
Scream My Name de la chanteuse suédoise Tove Lo...
- Benoit... Benoit! Embrasse-moi.
Je me suis exécuté, sans attendre. Si tels étaient ses ordres, à
Laura... Ma Laura. Qu'elle me demande ce qu'elle voulait, je l'aurais
fait. J'étais à elle.
J'ai approché mon visage du sien. Nos bouches allaient de nouveau se
rencontrer, se retrouver. C'était inévitable. C'était imminent.
Nous y étions... Nous nous embrassions de nouveau. J'avais peur de faire
mal à Laura vu que j'étais complètement allongé sur elle. Mais... Elle
me fit très vite comprendre qu'elle aimait ça et que c'était ce qu'elle
voulait, elle. Par la voix. Par les mots. Par les caresses.
Cette nuit, ce lit, nous.
Je m'activais et je redoublais d'ardeur. J'allais et je venais, plus
fort, plus vite, dans le vagin particulièrement et sensiblement trempé
de Laura. Elle, d'ailleurs, elle ne s'en cachait pas le moins du monde:
elle criait... elle hurlait son plaisir. Et si elle avait posé ses mains
douces, chaudes, caressantes, ce n'était pas pour rien. Non... Si elle
l'avait fait, connaissant Laura de mieux en mieux, c'était qu'il y avait
une bonne raison. Oh... oui.
Si elle avait posé ses mains sur mes épaules, comme ça, comme elle
l'avait fait, c'était que Laura avait quelque chose de précis en tête.
Il ne pouvait pas en être autrement. Non...
- Benoit... Continue... Encore... Encore... Encore... Je te sens... Je
sens ta belle queue en moi... Elle va et elle vient... PUTAIN!
Elle lâchait les gonds. Ça me faisait un je-ne-sais-quoi. C'était à moi
qu'elle disait tout ça. C'était moi qui étais tout entier, dans son
vagin et qui lui faisais l'amour. J'EN ÉTAIS FIER!
Je me suis mis à redoubler d'effort, de vigueur et d'ardeur. Je n'étais
plus en train de lui faire l'amour. Non... Je n'étais plus qu'une boule
de désir, aux côtés de Laura, dans ses bras.
Elle faisait de moi un autre Benoit. Un Benoit différent. Un nouveau
Benoit. Un Benoit qu'à vrai dire... je ne reconnaissais pas.. mais qui
me plaisait. Parce qu'aux côtés de Laura, je lâchais du lest. Je lâchais
les gonds. Je lâchais les valves. Et dès lors, j'étais en paix avec
moi-même. Je m'autorisais à tout extérioriser. À être plus bestial. À
être bien plus spontané, bien moins engourdi. À me laisser aller. À être
corps et âme et sexe avec ma belle Laura.Et quelque chose me disait que
ce n'était que le début...
Ce nouveau Benoit... Il n'était... Il n'appartenait qu'à Laura. Point final.
Ma belle Laura...
MA belle Laura...
À MOI.
Et moi, j'étais à ELLE.
Wings of Time de Toto, ce groupe qu'elle semblait décidément
apprécier... C'était loin d'être la première chanson de ce groupe
américain mythique que l'on entendait cette nuit, tous les deux. Toutes
ces chansons... C'était la bande-originale de cette première nuit. Notre
première nuit d'amour.
Laura était allongée, confortablement, sur le lit, en dessous de moi.
J'étais allongé sur elle, et pourtant... Ça semblait encore et toujours
elle qui dominait nos ébats. Nos débats. Elle avait les bras autour de
mon cou.
J'étais à elle.
J'étais sa chasse gardée.
J'étais son Benoit.
C'était aussi simple que ça.
- Tu es à moi... Et j'en profite bien! Hmmmm...
Sur ces paroles, Laura déposa un baiser, léger comme une plume, sur mes
lèvres. Hmmmm... Mmmmh... Ses lèvres avaient toujours leur délicieux
goût de cerise.
- Oui, Benoit... Tu es à moi... Et moi aussi, je suis à toi...
J'allais et je venais en elle. Ses mains arrimées à mon cou, j'étais
allongé sur elle. Limite, je la clouais contre moi, contre les draps et
le matelas du lit.
- C'est ça... C'est ça! Benoit! Baise-moi comme ça! S'il te plaît...
Là, ce fut à mon tour de poser mes lèvres, délicatement, sur les
siennes, pour un nouveau baiser. Ça y était. Nous nous embrassions.
- Baise-moi, Benoit! Pilonne-moi! S'il te plaît... OH!
Laura était plus que déchaînée. Elle était plus qu'insatiable. Mais...
Elle m'avait donné du plaisir, beaucoup de plaisir, tant de plaisir,
jusque-là. Elle avait fait de moi un autre Benoit. Un nouveau Benoit. Un
Benoit qui était EN-FIN à elle, corps et âme et sexe.
Physical de Dua Lipa...
Je me suis un peu relevé, mais tout en restant en elle, en missionnaire.
Laura m'a regardé instantanément, comme étonnée que je me détache de
son étreinte. Elle m'a regardé comme si elle ne comprenait pas. J'ai
alors posé un doigt sur ses lèvres, pour lui dire de se taire.
- Je suis à toi, Benoit. Fais de moi ce que tu veux. J'aime ça...
Coquine et sensuelle comme elle l'était, elle n'avait pas pu s'empêcher
de donner un petit coup de langue à mon doigt. Ah! Sa jolie langue...
Capable de me faire bander... De me lécher... De me procurer bien du
plaisir... J'ai, l'instant d'après, repris ma position de base, celle
que j'avais adopté quand j'avais commencé à la pénétrer en missionnaire.
Laura s'était alors remise alors à poser ses mains sur le bas de mes
reins. De plus, elle répondait à mes coups de rein de plus en plus
vigoureux, hardis, par des mouvements de son bassin. Elle criait son
plaisir. Elle savourait le plaisir que je lui donnais. Ses yeux étaient
mi-clos. Sa bouche était entrouverte.
Believe in Love des Scorpions...
Pour ma part, j'avais de plus en plus confiance en moi. En mon potentiel
de séduction. En mon charme. En mes charmes. En ma sensualité. Et je
savais ce que je voulais. Je savais là où je voulais arriver.
La jouissance de Laura.
L'orgasme de Laura.
Je n'avais plus que ça en moi, au bout de mon sexe, au bout de mon gland. Et je me donnais, corps et âme et sexe.
Elle, elle était complètement allongée sur le lit, sur la couette. Toute
contre les pétales de rose. Elle ne faisait qu'un avec les draps, avec
le lit. Elle était sensuelle. J'étais tout émoustillé. Le Benoit que
j'étais en train de devenir, petites touches par petites touches, avait
du mal à y croire. Ça, Laura a dû le remarquer, et ce, je ne savais pour
quelle raison. Toujours est-il que ses deux mains, étaient, une fois
encore, posées sur le bas de mes reins. Ses mains se faisaient
massantes, caressantes, douces. Curieuses. Gourmandes.
Mes yeux se sont posées, une fraction de seconde, dans ceux de Laura. Et
ses yeux... me caressaient, eux aussi, avec tendresse. Laura me
souriait, aussi. Si j'avais eu un appareil photo, j'aurais immortalisé
sur le champs CE MOMENT-LA, témoin à tout jamais de notre amour
naissant, de notre complicité et de notre alchimie sensuelle et
sexuelle.
J'ai marqué un temps d'arrêt, mais tout en restant bien au chaud en elle.
- Benoit... Benoit! Baise-moi! Je vais bientôt jouir... S'il te plaît... Je veux jouir!
Je crois bien que je ne lui ai pas laissée le temps d'en dire plus. Son plaisir et sa jouissance étaient ce que je recherchais.
Je me suis remis à la pénétrer... mais aussi désormais à la pilonner inexorablement.
C'est alors que j'ai posé mes doigts sur son clitoris et que je l'ai caressée...
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