Ô belle demoiselle 2
La belle demoiselle a momentanément stoppé 
notre partie de baisers. C'était pour tirer la langue… et montrer le 
piercing qu'elle avait effectivement à la langue. C'était un morceau de 
métal, couleur chrome, argenté, et qui perçait sa langue de haut en bas,
 quasiment pile au milieu.
Ce n'était pas la première fois que j'en voyais un de mes propres yeux. 
Certaines de mes camarades en avaient porté quand j'étais au lycée, à la
 fac. Mais là… c'était différent : Cécilia était la première fille à 
avoir un piercing lingual… et que j'embrassais.
Cécilia me devança pour ce qui était du chapitre de mes interrogations.
– Eh oui ! J'ai un piercing à la langue. Il est joli, tu trouves pas ? 
C'est le cadeau que je me suis fait pour mes 18 ans. J'avais travaillé 
l'été, quand j'étais plus jeune et j'ai économisé pour m'offrir ce dont 
j'avais rêvé quand j'étais ado.
– Tu es la première fille avec un piercing comme ça… et je dois dire que… que c'est excitant.
– Ravie que ça te plaise ! Minute… Je connais même pas ton prénom à toi.
– David.
– David… J'aime bien.
Elle a alors souri.
Elle s'était immédiatement remise à déposer ses lèvres sur les miennes, à mêler sa langue à la mienne.
Tout ce que nous ressentions, c'était de la chaleur. Du bien-être. Du plaisir.
C'était une agréable partie de baisers à laquelle on s'adonnait. On 
s'abandonnait. On s'embrassait à pleine bouche. On soupirait. On 
gémissait. De fil en aiguille, et tout en continuant de nous donner des 
baisers divers et variés, nous nous sommes laissés aller, lentement mais
 sûrement, à découvrir le corps de l'autre.
Nous soupirions.
Nous râlions.
Nous gémissions.
Nous jouissions des baisers et des caresses que nous nous donnions. 
Cécilia me rendait si fou que dans un moment d'audace, je me suis penché
 sur elle et je l'ai faite s'allonger sur mon manteau qui faisait un peu
 de couverture. Allongée, elle était belle à croquer, et, ni une ni 
deux, je me suis allongé sur elle et je me suis remis simultanément à 
l'embrasser et à la peloter. Je posais mes mains sur elle, et je la 
caressais par-dessus sa robe. Elle me semblait plate, menue. Pourtant…. 
Elle me plaisait. Elle m'excitait. Au plus haut point.
Je caressais Cécilia, avec mes mains et mes yeux. Elle, elle me 
regardait et elle émettait des bruits de plaisir plutôt discrets. Seul 
moi pouvais les entendre.
– Hmmm… Mmmh… J'aime ça… J'aime qu'un mec s'occupe de moi comme ça… Continue...
– Jolie Cécilia… Laisse-moi m'occuper de toi… J'ai envie de toi...
Mais qu'est-ce qu'il m'arrivait, là? J'étais là pour faire de la musique 
et pour composer. Et là, une fille était arrivée d'où je-ne-sais-où, et 
me demandait de jouer pour elle, et je me suis retrouvé au final à jouer
 avec elle !
– Ma petite robe… Enlève-moi ma robe… S'il te plaît...
– Si tels sont tes désirs, bébé...
Elle s'est mise à glousser.
Mais juste avant de la lui ôter, j'ai décidé de continuer encore un peu 
mon exploration de son corps, par-dessus le tissu de ce vêtement coloré,
 fleuri, qui la couvrait. J'aimais ça : sentir ma main glisser sur la 
texture légère de ce papier cadeau qui cachait encore pour le moment sa 
nudité top secrète.
– Je suis heureuse que cette robe te plaise, beau David… C'est ma 
préférée. Quand je la porte, je rencontre un beau mec. Aujourd'hui, 
c'est toi...
– Je te laisse la porter alors encore un peu, belle demoiselle. C'est comme si tu l'avais portée exprès pour moi...
Sur ces mots, elle se remit à glousser.
C'était comme une partie de ping-pong. Un jeu entre nous. Rien que nous deux.
Jusqu'à temps que l'un de nous deux lâche prise et implose. Explose. S'abandonne.
Mes mains se sont relancées dans une chevauchée où elles se délectaient 
des formes et des courbes de ma copine de jeux du jour. Elle était plate
 et pourtant… Ça ne m'arrêtait en rien. Bien au contraire. Et puis, 
Cécilia se tortillait et se mouvait au contact de mes mains qui la 
découvraient et qui l'honoraient. Elle semblait bien à l'aise, allongée 
sur mon manteau et elle se pâmait de mes mains sur son corps et de mes 
yeux qui ne cessaient pas de se noyer dans les siens.
Cécilia gloussait.
Cécilia souriait.
Cécilia riait.
Cécilia râlait.
Cécilia soupirait
Cécilia gémissait.
Et soudain...
– Ma robe… Enlève-moi ma robe… Bébé… S'il te plaît...
Sa voix était douce. Ses yeux, désormais suppliants. Comme si elle se 
faisait soumise et qu'elle attendait de moi que je prenne le contrôle 
des opérations. De nos ébats.
– Cécilia… Tu sais ce que tu veux… Mais moi, c'est ce que je veux… Te dénuder...Faire mien ton joli corps...
– Bébé… Maintenant ! S'il te plaît...
J'avais l’œil. Et je voyais une larme couler le long de sa joue. Elle 
était émue. A la limite de la rupture. Son désir éclatait au grand jour.
– Fais-moi l'amour, David. Maintenant !
Je soupirais. Et je posais mes doigts sur les bretelles de sa robe et je
 les abaissais. Puis je dénudais ses seins et je découvrais qu'ils 
étaient tout petits. Ils devaient faire du 80A ou quelque chose comme 
ça. Ils me fascinaient déjà, mais je décidais que je m'occuperais d'eux 
précisément un peu plus tard… Au fur et à mesure que je descendais sa 
robe légère le long de son buste, je faisais connaissance avec sa peau 
couleur rose pâle. Cécilia était toute plate. Et pourtant… Elle me 
plaisait beaucoup.
J'étais bouche bée. Cécilia était ravissante. Son corps avait beau être 
frêle, mince, menu, il me plaisait plus que tout. Je mourais d'envie de 
baiser avec elle. Je mourais d'envie de la faire mienne, de la posséder.
 Je me rinçais l’œil et je lorgnais son corps. Et puis je replongeais 
mes yeux dans les siens. Je la regardais avec tendresse, avec émotion, 
avec désir.
– J'aime que tu me regardes comme ça, David...
Elle poussa un soupir de bonheur juste après.
– Tu es à croquer, beauté.
Elle se mit une seconde fois à soupirer. Elle se pâmait de l'attention que je lui portais.
– Et toi, tu m'excites, beau gosse ! Que j'ai hâte que tu me baises...
Voilà… Voilà… Il n'y avait plus de doute possible : nous étions dans le vif du sujet.
 
Sa robe était descendue jusqu'au bas de son ventre, à cet endroit 
charnière où se trouve le féminin sacré. Tout le haut de son corps était
 à nu et mes yeux passaient cette zone aux rayons X. Chaque millimètre 
de sa peau était dans ma ligne de mire. Je me délectais de l'étendue 
mais aussi et surtout de la pâleur de son épiderme. Je mourais d'envie 
de la faire mienne. Avec mes doigts… Avec mes mains… Avec mes lèvres… 
Avec ma langue…
Cécilia le comprenait parfaitement, ça. Quand nos yeux se captaient, 
elle me souriait. Comme si elle lisait en moi et qu'elle voyait clair 
dans mon esprit.
– David… Tu peux… Mon corps est désormais à toi ! Fais-moi l'amour !
– Si tels sont tes désirs, ma belle...
Je me suis penché sur elle, et j'ai commencé par prendre d'assaut son 
menton, sa mâchoire, sa gorge, son cou. Mes doigts. Mes mains. Mes 
lèvres. Ma langue. Des attouchements légers. D'autres, plus prononcés. 
Des petits baisers. Des succions. Un, deux suçons. Des coups de langue 
sensuels. D'autres, plus vifs.
Toute contre moi, Cécilia en avait la chair de poule. Elle était déjà 
perdue. Mais… ce n'était que le début. Elle tremblait. Mais, quand je la
 regardais dans les yeux, ses yeux étaient brillants. Sur ses lèvres se 
dessinait un sourire. Je me laissais aller à contempler son visage : 
elle s'était maquillée très, très sobrement. Juste un petit peu de fard à
 paupières et une touche de mascara. Ses lèvres étaient pleines, 
pulpeuses, roses et elles sentaient bon le baume à lèvres à la vanille.
– Cécilia… J'ai tellement envie de toi...
– Moi aussi… David...
Sur ces mots, j'ai poussé un long soupir.
Je me suis penché une nouvelle fois, mais cette fois, c'était pour 
m'allonger sur elle. J'étais tout habillé encore, alors qu'elle était 
pratiquement nue.
J'ai posé ma tête contre sa poitrine, là où son cœur bat. Et il battait si fort ! Il battait la chamade.
Le toucher… La vue… L'odorat… L'ouïe… Le goût… Voilà de précieux alliés 
pour les amants dont nous faisions désormais partie. Et son cœur qui 
battait et qui pulsait intensément… C'est une jolie musique bien 
rythmée, régulière, à sa manière. Cécilia était donc une musicienne… à 
sa manière !
– Ton cœur est si beau à écouter, bébé.
– Il bat pour toi, David… Pour toi.
Je la regardais intensément. Je voulais me perdre dans ses yeux vairons.
 Je lui appartenais. Ça y était : j'étais à elle. Elle pouvait me 
demander tout ce qu'elle voulait : je l'aurais fait.
– Touche-moi, David… Mon corps est à toi. Touche-moi ! Maintenant !
Je l'ai, une fois de plus, regardée droit dans les yeux. Elle, était 
curieuse. Gourmande. Et ni une ni deux, elle avait plongé l'une de ses 
mains dans mes cheveux et elle me les caressait tendrement. D'un autre 
côté, elle me les empoignait aussi.
– Tes cheveux sont si doux, joli David… Et ton dégradé… Tu me plais 
tellement… Tu me fais perdre la raison… Je suis un papillon, et toi, tu 
es la lumière… Tu m'ensorcelles...
– Je crois que c'est le contraire, miss, là...
– Ah oui ?
- Oui… Tu es une sorcière sexy et tu m'as jeté un sort… Je n'ai d'yeux que pour toi...
– David...
– Oui ?
– Touche-moi… Caresse-moi… Fais-moi l'amour… Baise-moi ! S'il te plaît...
– Cécilia...
– S'il te plaît...
– Laisse-moi au moins m'occuper de toi… S'il te plaît…
– J'aime que tu t'occupes de moi, mon beau David...
– Pas comme tu pourrais le penser...
– Ah ?
– Non...
Sur ces mots, je me suis mis à m'allonger davantage sur elle et à poser le plat de mes mains sur son corps.
– David ! Tes mains… Ton corps ! Continue !
Je ne me faisais pas prier.
Je me suis mis alors à déposer mes lèvres sur ses tout petits seins. Une
 toute petite aréole rose entourait un bourgeon qui osait s'allonger 
timidement mais sûrement… Elle, elle était excitée… C'était certain. Et 
moi… je rapprochais ma bouche… et j'osais rapprocher mes lèvres de ce 
téton effronté qui pointait. Je l'entourais et je le suçais. Je le 
tétais. Doucement. Tendrement. Avec fierté.
– Mes tout petits seins… Non… C'est pas... possible ! C'est juste pas 
possible qu'un mec comme toi les aime comme ça ! Continue ! Pu… tain !
– Ils me plaisent bien, tes tout petits seins, tu sais ? Mmmh...
– David…
Je les suçais, ses tétons, et je les léchais. Je les tétais. Cécilia… Vois ce que tu as fait de moi… !
Ma bouche sur un sein, je caressais l'autre pic pointu d'un doigt. Je le
 faisais rouler avec mon pouce. Je le faisais s'allonger ainsi. Je me 
suis occupé de Cécilia de cette manière un moment. Et puis j'ai inversé 
la configuration de mes caresses. Mes lèvres et puis ma langue sur son 
sein droit. Ma main, mon pouce sur son sein gauche.
– David...
– Oui, Cécilia ?
– Déshabille-toi… Moi aussi je te veux… Je veux te voir nu… S'il te plaît...
– Tes désirs sont des ordres, Cécilia… Bien… sûr ! C'est comme si c'était fait !
Et ni une ni deux, je me suis un poil relevé, histoire d'enlever mon T-Shirt… et mon jean slim.
– David ! Que tu es beau ! Laisse-moi te toucher ! J'ai envie de te caresser, moi aussi !
La jolie brunette a accompagné ses paroles d'une main qu'elle dirigeait 
vers mon ventre. Sa main, d'entrée, était curieuse, gourmande. Joueuse. 
Coquine. Et, tout de suite, elle a repéré la ligne de poils qui partait 
d'entre mes mamelons, sur mon torse et qui allait jusqu'à mon 
entrejambe, au niveau de mon pubis. Je la laissais volontiers partir à 
ma découverte. J'aurais aimé continuer de la caresser. Mais bon. Ce 
n'était que partie remise.
– David…
– Mmmh… Cécilia...
– Mets-toi sur le dos, s'il te plaît. A mon tour de m'occuper de toi...
Et elle savait s'occuper d'un mec, cette petite ! Une main sur ma joue… 
De doux baisers… Le bout de ses lèvres… Sa salive… Et plus elle 
descendait, plus je me sentais désiré. Je la sentais prendre possession 
de moi. Il n'y avait plus rien à faire. J'avais du mal à respirer, je 
haletais. Je soupirais. Je gémissais.
Et quand mes yeux rencontraient les siens, mon cœur avait des ratés. Je 
perdais la tête. Toute raison me quittait. Je perdais pied. Mon corps, 
tout entier, était dans sa ligne de mire. Et elle, elle le savait 
évidemment. Ses lèvres se posèrent dans mon cou, et, telle un vampire, 
ses dents me mordillaient la peau et elle me fit un suçon. Sa langue, 
elle, préférait jouer avec un point sensible qu'elle avait repéré, là où
 elle avait senti mon sang pulser. J'en gémissais bruyamment de plaisir.
 C'était délicieux ! Bordel ! Je sentais avec plaisir le fameux piercing
 qu'elle avait à la langue. Plus sa langue descendait, et plus elle 
tatouait ma peau à l'encre de ses muqueuses et de sa salive. Elle, elle 
savait y faire et elle s'y connaissait en matière de baisers et de 
caresses. Ça ne faisait pas l'ombre d'un doute. La douceur de ses 
attouchements réchauffait le côté froid, métallique du piercing.
Ses lèvres et sa langue, chaudes, elles descendaient lentement mais 
sûrement, crescendo, et c'était agréable. Cécilia avait pris le dessus 
sur moi. Elle m'embrassait et elle me caressait. Elle était dévouée, 
préposée à mon plaisir. Des tout petits baisers où j'entendais le bruit 
de ses lèvres… Des léchouilles où je sentais sa salive sur ma peau 
désormais tatouée. Moi je n'étais pas en reste. Non… Je la guidais en 
passant ma main dans ses cheveux et en les lui tirant légèrement. Je la 
guidais en laissant mes mains se promener sur toute la surface de sa 
peau, de sa nuque jusqu'à ses jambes en passant par sa colonne 
vertébrale.
– Mmmh… C'est si bon ce que tu me fais, David… Continue !
Et ni une ni deux, elle s'est tout de suite remise à s'occuper de moi. 
Mes mamelons qu'elle se mit à prendre entre ses lèvres… Elle les suçait…
 Elle les tétait… Puis, c'était au tour de sa langue de rentrer sur 
scène et et de jouer : Cécilia maîtrisait à la perfection ses coups de 
langue. Avec la pointe de sa langue et à l'aide de son piercing, elle 
faisait des merveilles. Son visage était enfoui contre mon torse. Moi, 
j'avais toujours une main plongée dans ses cheveux. Entre temps, je lui 
avais retiré l'élastique de sa queue de cheval qu'elle avait et ses 
longs cheveux se sont déroulés jusqu'à lui arriver aux épaules. Mes 
mains y étaient glissées, dans ses cheveux, et ça me plaisait de les 
caresser. Je profitais du fait qu'elle était couchée sur moi et qu'elle 
se délectait de mes tétons pour, moi aussi, à me remettre à m'occuper 
d'elle. Je lui massais le cuir chevelu. En réponse, je l'entendais 
ronronner.
– Mmmh… Continue… Oui ! David ! J'adore ça… Je suis ta petite chose perdue...
Ses mots m'ont fait soupirer.
– Je veux vérifier par moi-même, bébé...
Mes mots l'ont faite gémir. 
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