Ô belle demoiselle 3
Je me suis allongé alors sur elle de
nouveau, mais cette fois, je me suis remis voyager et à explorer son
corps, dans les moindres détails. À chaque escale de mon périple sensuel
et charnel, tantôt je donnais un petit baiser, tantôt je donnais un
coup de langue. Ça, ça faisait Cécilia se tortiller parce qu'elle
sentait le plaisir pointer le bout de son nez et prendre possession
d'elle. Ça lui faisait donner de la voix.
– David ! Da… vid ! Je n'en peux plus de tes tortures. Lèche-moi ! Doigte-moi !
Je l'ai regardée bien droit dans les yeux, et je l'ai confrontée aux
paroles qu'elle venait de prononcer. Elle se contenta de hocher la tête.
C'était suffisant pour moi.
J'ai placé ma tête entre ses jambes… et c'est en lui retirant
complètement sa robe légère que je me suis rendu compte qu'elle ne
portait pas de culotte.
– Mmmh… Pas de culotte ? Intéressant… Tu es une petite vicieuse, tu le sais ?
Elle gloussa et rit de manière coquine.
– Ça te plaît que je sois ta petite salope à toi, aujourd'hui, beau gosse ?
– Mmmh… Oui...
– Je suis à toi, tout entière, alors...
Je lui ai écartée les jambes d'un mouvement sec de mes mains et je les
ai maintenues ainsi. Son sexe était intégralement épilé et je n'y
distinguais pas le moindre poil pubien. Son intimité était douce au
toucher, et c'était agréable. Sur ce, je cédais aux sirènes du plaisir
et je décidais d'y succomber aux côtés de Cécilia.
Mon visage enfoui dans son sexe, j’entrouvrais la bouche et je donnais
un petit baiser sur son intimité. À l’œil nu, déjà, elle était humide.
Mais… en bouche… c'était bien plus jouissif : les premiers coups de
langue étaient juste… Pfiou… Sa chatte avait un bon goût de chatte. Avec
le plat de la langue, je donnais des coups lents mais sensuels. Avec
mes doigts, j'écartais ses grandes lèvres afin d'avoir accès au cœur de
son fruit mûr et gorgé de nectar féminin. Et en maintenant ses lèvres
écartées, je laissais ma langue virevolter, butiner, papillonner sur son
abricot.
Plus je la léchais, plus elle mouillait.
Plus je la léchais, plus elle soupirait et elle gémissait.
Plus je la léchais, plus elle se tortillait et elle refermait puis elle rouvrait ses cuisses.
De ces coups de langue lents mais sensuels, je suis passé à des coups
plus rapides et plus vifs. Eux, ils étaient destinés à son petit
clitoris qui osait à présent se montrer au grand jour. Son jus féminin
était chaud. Doux. Capiteux. Il m'avait éveillé les papilles. Mon esprit
était en ébullition. En perdition. Soudain, j'étais comme en pilotage
automatique et il n'y avait plus que son clitoris et sa vulve qui
comptaient pour moi. Il n'y avait plus que son plaisir qui avait de
l'importance à mes yeux.
Ma langue s'agitait et se démenait pour lutiner sa porte du plaisir afin
que ce cunni soit et reste agréable… et qu'elle en jouisse. De temps à
autre, je relevais la tête et je levais les yeux vers elle.
– Tu es si belle, Cécilia… et si délicieuse...
– Et toi, David… C'est trop… bon...
Elle tendit une main vers ma tête et elle se mit à me caresser les cheveux.
– «Tu me fais tourner… la tête… Mon manège à moi… c'est toi.»
J'ai gloussé, à mon tour, parce que ce classique de Édith Piaf et
joliment remis au goût du jour par Étienne Daho était l'une de mes
chansons préférées. Non… Ce n'était pas possible… Ça ne pouvait être
qu'une coïncidence… Il ne pouvait pas en être autrement.
– Mets-moi un doigt, David ! Non ! Deux ! S'il te plaît...
Sur ces mots, cette brunette, gourmande, s'est emparée de mon bras
gauche, et, un peu comme une marionnettiste, elle le dirigea d'une main
de maître, avec empressement, vers sa vulve. Une fois parvenus aux
rivages de sa féminité, à l'estuaire de son plaisir, à l'embouchure de
sa jouissance, nous nous sommes regardés. Je l'ai vue hocher la tête. Je
me suis noyé dans ses yeux suppliants.
– David…
– Je sais ce que tu veux, Cécilia…
– Fais de moi ta petite salope… S'il te plaît…
– Puissent tes désirs être exaucés, alors…
Un doigt dans sa chatte. Un pouce qui dessinait des petits cercles sur
son clito. Elle ruisselait. Sa mouille lui coulait entre les cuisses. Ma
langue butinait. Mes lèvres l'honoraient…
– «Faudrait prendre une chambre avec vue… sur l'Amour...»
Et elle citait aussi bien Piaf et Daho que Zazie ! Mais ! Une musicienne érotomane, cette Cécilia, moi je vous le dis !
– «Belle demoiselle...»
Christophe Maé ! Sortez de mon corps !
– «Ta belle demoiselle...»
On se répondait du tac au tac. On s'échangeait désir pour désir, plaisir
pour plaisir. C'était donnant-donnant entre nous. Et c'était chaud,
très chaud. C'était palpable. C'était électrique.
Je m'appliquais à lui donner ce cunni. Petits coups de langue… Coups
plus rapides… Je prenais sa peau entre mes lèvres et je la suçais. Et
voilà que j'introduisais et que j'enfonçais doucement un deuxième doigt
dans son antre vaginale. Je la doigtais, et je la léchais,
simultanément. C'était le cocktail que j'aimais donner à mes
partenaires. Et là… Cécilia ne faisait pas figure d'exception.
– David… David… C'est trop bon… Ô… mon… dieu ! Pu… tain ! N'arrêtes surtout pas ! Je t'en supplie !
– Les petites salopes comme toi méritent de jouir…
Elle gloussa, puis elle gémit.
– Oh oui ! S'il te plaît ! Fais-moi jouir !
Elle n'avait pas besoin de me le dire une deuxième fois.
– Tu es perdue, bébé. Abandonne-toi… Jouis pour moi...
– Da… vid ! Pu… TAIN !
Ses chairs se sont resserrées sur mes doigts. Cécilia n'était plus que
plaisir et jouissance. Orgasme. Une forme d'électricité s'est emparée
d'elle. Elle venait de jouir, et pourtant, son orgasme semblait se
prolonger. De brèves mais intenses décharges électriques faisaient
convulser son corps. Mais, ce qui me surprit au plus haut point, c'était
le fait qu'elle sanglotait et qu'elle pleurait. Là encore, Cécilia
était la première fille avec qui je baisais… et qui pleurait juste après
avoir eu un orgasme.
– T'inquiètes pas, David… Je pleure mais je suis heureuse. Je me sens si
bien avec toi. Et quand c'est intense et que je jouis comme ça, ça me
fait pleurer.
Ce qu'elle disait, c'était comme si elle confessait ses péchés.
– Chut… Chut… Tu as joui, et tu es belle quand tu jouis. Et… tu es belle même quand tu pleures, Cécilia.
– David… Toi ? Non… Tu penses sincèrement ce que tu me dis là ?
– Hmm… Hmm...
– Où étais-tu pendant toutes ces années, loin de moi ? Dis-moi...
– Je me pose la même question, ma belle… Toi, où étais-tu ?
– David… ?
– Hmm… Oui, Cécilia ?
– Embrasse-moi. S'il te plaît. Je veux te sentir tout contre moi…
– Tout ce que tu veux… Je veux te donner tout ce dont tu as envie, cet après-midi...
Mes doigts sur son menton, je lui ai fait relever la tête et je
l'obligeais à me regarder. Puis ce fut à mon tour d'abaisser la tête et
de rapprocher ma bouche de la sienne. Lentement. Au ralenti. Comme pour
apprécier au maximum ce baiser à venir.
Nos lèvres se sont enfin touchées. Ça y était : nous nous embrassions.
C'était tellement… bon. Ses lèvres au doux goût de vanille étaient
décidément un plaisir à embrasser. Et j'aimais beaucoup embrasser cette
petite coquine de Cécilia.
Allongé sur elle, je la dominais, façon de parler. Ma main sur sa joue,
et mes lèvres sur les siennes… je lui offrais en cadeau tout le désir
que j'avais en moi. C'était tout pour elle, aujourd'hui. Et ça, je
faisais en sorte de le lui montrer pour qu'elle puisse le voir de ses
propres yeux. C'étaient des petits baisers, du bout des lèvres, doux
comme des plumes. Je m'appliquais à les lui donner, ces baisers. Il le
fallait. Je voulais lui laisser un souvenir mémorable de moi, à jamais.
Et pour cela, ça passait par de la douceur, par de la tendresse, de la
délicatesse. Par des baisers et des caresses.
En parlant de baisers et de caresses… J'embrassais Cécilia autant que je
le pouvais. Elle, elle avait passé son bras autour de mon cou. Elle
s'accrochait à moi comme si elle ne voulait pas que je suspende mes
baisers et que je ne m'en aille.
– David…
Soupir.
– Oui, Cécilia ?
– Pénètre-moi.
– Attends, miss. Je veux que tu sois prête à m'accueillir.
– Tu ne vois pas ? Tu ne sens pas ?
– Cécilia… Tu es chaude, et je le sais. Mais. Je veux le meilleur pour toi, tu comprends ça ?
– Tes mots me feraient jouir à eux seuls, David...
– Je te ferai jouir encore… Je te le promets.
– Donne-moi l'une de tes mains...
– Tiens… Elle est à toi.
Il s'agissait de ma main droite. La jolie brunette s'en empara et déposa
ses lèvres sur le dos de la main. Ses lèvres sur ma peau...
– Tu es à moi, maintenant, joli garçon.
– À toi, bébé.
Elle me tenait toujours la main et la manipulait avec délicatesse. Avec
le plat de la main, Cécilia me faisait caresser son corps et elle ne
laissait AU-CUN endroit hors de mon contact: sa gorge… ses épaules… ses
aisselles… ses tout petits seins… son nombril… ses côtes… son
bas-ventre… jusqu'à son pubis où elle me fit lui donner quelques petites
tapes délicates. On se regardait dans les yeux, et on se fixait. Les
lèvres de Cécilia étaient entrouvertes. Tout en lui tapotant le pubis,
je remarquais qu'elle haletait. Ses yeux, eux, ne me lâchaient pas. Ils
me suppliaient… Ils me suppliaient de m'allonger de nouveau sur elle et
de lui faire l'amour.
– Tu aimes ça, petite diablesse ?
Elle grimaça de plaisir, puis elle me répondit :
– Oui… Encore… Fais-le moi… encore...
– Tu aimes... ça, hein ?
– Oui… Oui… J'aime ça !
– Hmmm...
Elle le fit bouger ma main sur les lèvres de son sexe éclos et la
manipula comme si elle jouait d'un instrument à cordes avec ses doigts.
Là, les cordes, c'étaient ses nymphes, et le musicien, c'était nous. Mes
doigts étaient délicatement manipulés pour que les caresses restent
agréables.
– David… Tu vois ? Tu sens maintenant ? Je suis prête à t'accueillir...
– Bien.
Elle relâcha son étreinte, et elle me laissait de nouveau les mains
libres. J'avais mon érection bien en main. Elle était proéminente. Dure.
Grosse. Je la fis frotter contre le sexe humide de Cécilia. Elle était
chaude. Elle était mouillée.
Et je suis entré en elle. Mon sexe coulissait mais le sien l'absorbait
et le faisait pénétrer avec plaisir. J'étais bien en elle. D'entrée,
elle a porté sa main à son sexe et elle se caressait pendant que
j'allais et que je venais en elle. C'était curieux mais c'était comme je
l'avais imaginé au moment où je l'avais léchée et doigtée. J'allais et
je venais en elle, je menais déjà un rythme de croisière régulier.
– David… David… David… C'est… bon… J'en étais sûre…
– Abandonne-toi, ma belle… Donne-toi entièrement à moi…
– Oh oui ! Je veux… Je veux !
– Ce n'est que pur délice d'être en toi…
– Da… vid ! Pu… tain ! Qu'elle est grosse… et bien… bonne, ta queue en moi !
– T'es bonne… Qu'est-ce que tu es bonne !
– La meilleure des petites salopes… Rien qu'à toi…
– Pu… tain !
C'est alors que je me suis enfoncé un peu plus profondément en Cécilia.
Son vagin était tellement agréable. C'était très humide… et chaud à
l'intérieur. Il enserrait à merveille mon pénis.
J'étais complètement allongé sur elle, en missionnaire, et pendant que
mon sexe allait et venait en elle avec ardeur et que nous en gémissions
tous les deux, mon visage était enfoui dans son cou. Je lui donnais des
petits baisers et je lui léchais le cou en alternance. Je l'entendais
haleter, soupirer, gémir sans arrêt mais je me délectais de ses bruits
pendant l'amour.
Ma tête était plongée dans son cou et j'allais et venais entre ses reins
avec ce rythme soutenu et régulier auquel nous nous habituions à ce
moment-là et qui semblait lui convenir. Elle avait posé ses mains sur
mes fesses ainsi, elle était ma complice car elle me faisait faire ces
allers-retours à l'intérieur de son corps. Mon impression était que son
vagin était idéal pour accueillir mon sexe. Je m'y sentais très bien à
l'intérieur. Et elle était beaucoup mouillée. C'était parfait. J'adorais
lui faire l'amour.
Mes lèvres se sont approchées de son oreille et je me suis mis à lui
chuchoter. C'était intime. Je me mettais encore plus à nu. Je me donnais
à elle corps et âme.
– Donne-toi à moi, Cécilia… Donne-moi tout…
– Oui… Da… vid ! Je… veux !
– Pu… tain… Ca… resse- toi !
– Tu… aimes… quand je me… caresse ?
– C'est… trop… sexy… quand tu… fais ça…
– Et… toi ! C'est trop… bon ! C'est trop bon quand tu vas et viens en
moi et quand tu as ta tête dans mon cou ? C'est trop sexy ! J'aime !
– Je te ferai tout ce que tu aimes, bébé…
– Oh oui ! Oui ! Oui ! Oui ! Oui !
– Tout ce que tu veux…
– Ce que j'aime, là, c'est comment tu me fais l'amour. Il n'y a que moi.
– Toi… Rien que toi… Cé… ci… lia….
– Bébé…
– Oui, Cécilia ?
– J'aime que tu me fasses l'amour…
– Ce n'est que pur délice d'être en toi…
– Peux-tu… me baiser à présent ? Je suis une petite salope gourmande… Et… j'aime… tu vois ?
– Dis-moi, Cécilia…
– J'aime… les sensations… fortes… Tu vois ? J'aime quand on me baise… Je… raffole des belles grosses queues… Comme la tienne…
– Tout ce que tu veux, princesse…
– Une princesse peut-elle être une salope ?
– Je me rends compte que j'aime les petites salopes comme toi… Tu es si bonne… Bonne à marier… et à baiser…
– Tu pouvais pas me faire de meilleur compliment, beau gosse…
– Cécilia… Cécilia…
– David… Tu es bien en moi… Je le sais. Baise-moi ! Je veux ! Plus fort ! Plus vite ! Je veux te rendre… tout chose…
– Guide-moi, Cécilia…
– Je veux, bébé… Je veux… Rien que toi…
– Je suis à toi…
– Et moi… à toi…
– Je suis si bien en toi, miss…
– Je sais que tu es bien en moi, trésor… Continue… T'arrêtes pas…
– Oh oui… !
– Oublie tout, David… Mais ne m'oublie pas… S'il te plaît…
– Ça, il en est même pas question, ma belle…
– Tu me fais bien l'amour… J'aime… beaucoup… ça…
– Jolie Cécilia…
C'était plus que faire l'amour. C'était baiser, ce qui se passait entre
nous deux. Mon manteau léger en guise de couverture, contre son dos,
Cécilia était allongée et elle était détendue. Nous étions collés l'un à
l'autre. Elle avait décidé, entre temps, d'écarter les jambes davantage
pour que j'aie encore un meilleur accès à son vagin et à ses
profondeurs. Ses jolies gambettes, Cécilia les avaient posées et
croisées autour de moi. Ainsi, j'étais sous son emprise et c'était elle
donc qui me guidait. Ô belle demoiselle...
Je donnais des coups de rein plus vigoureux. De l'amant délicat que
j'avais pu être, j’étais devenu plus hardi. Plus audacieux. J'aimais
varier mes pénétrations et les plaisirs que je daignais procurer à ma
partenaire du jour.
– C'est ça, David… C'est ça ! Continue… Continue de me baiser comme ça… Pu… tain ! C'est bon…
- Trop… bon…
– Baise-moi comme la petite salope que je suis…
– Mmmh…
J'allais et je venais en Cécilia, en missionnaire. C'étaient des minutes
parfaites. Un moment agréable. Et nous y étions impliqués d'égal à
égale, elle et moi. Nous commencions à être couverts de sueur, elle
comme moi, mais nous étions bien, allongés à même sur l'herbe, sur mon
manteau et mon pull, et ça ne nous dérangeait pas.
– David…
Et elle a soupiré tout de suite après.
– D'ordinaire, je me sens bien quand je fais l'amour. Mais là… avec toi…
C'est tout autre chose… Je vibre comme je n'ai jamais vibré… Et tu le
sens, pas vrai, que je vibre… ?
– Cécilia… Ce que je sens… C'est que je suis si bien en toi…
Soupir de Cécilia.
– Et… tu me sens pas vibrer ? Tu sens pas que je mouille sans arrêt ? Tu sens pas que je m'abandonne ?
Je gémis pour toute réponse.
– David… Ne mens pas… Tu es bien en moi, et je vais… jouir… Je… le… sens…
Elle s'est mise à crier de plaisir.
– Cécilia… Tu es bandante… Comment ne pas avoir envie de toi…
– Tu ne pouvais pas mieux m'exciter, David… Je suis… Je suis… sur le point… de jouir…
Je gardais la même cadence quand je la pénétrais. La même ardeur. Et je
gardais toujours les yeux sur Cécilia. Je ne pouvais juste pas en faire
autrement. Je n'en avais pas le droit. Et quand elle m'a dit qu'elle
allait jouir… Ça m'avait fait quelque chose. Je savais qu'elle était
bien avec moi, toute contre moi. Je savais effectivement que son corps
vibrait au contact du mien.
À cette allure-là, Cécilia ne pouvait… que jouir. Il ne pouvait pas en être autrement...
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