Ô belle demoiselle 4
Cécilia… Vois ce que tu as fait de moi cet
après-midi là… Je n'étais plus moi-même. J'étais un autre mec. Un mec
qui voulait arrêter de penser à son ex. Un mec qui voulait profiter du
soleil et qui voulait passer un bon moment. Un mec qui voulait faire de
la musique. Et au final… tu es arrivée et tu m'as tout de suite parlé.
Et tu t'es mise à me toucher. Il était clair que tu n'aimais pas que ma
musique. Tu avais d'autres idées… plus tactiles…. plus coquines…
derrière la tête. Et je me suis laissé prendre au jeu. Et là, nous avons
passé un très agréable moment dans ce parc, tous les deux. Nous étions
comme coupés du reste du monde… et nous étions bien. Oh… oui. J'étais
allongé sur toi, et j'allais et je venais en toi avec constance. Je te
faisais l'amour, j'avais de l'affection et de la tendresse pour toi. Je
te baisais, j'étais parfaitement bien en toi et je ne m'arrêtais pas
d'aller et de venir. C'était devenu une cadence infernale que je te
faisais endurer mais tu aimais ça. Tu me répondais par des mouvements de
ton bassin. Ainsi, tu ressentais toujours mieux le plaisir que tu
prenais. C'était beau. C'était bon. C'est sûr, je vais me souvenir de
toi pour toujours, Cécilia. On ne se connaissait pas, et pourtant, on a
eu une si belle alchimie. Tu avais voulu que l'on prolonge la magie, tu
te souviens ? Le sexe a été beau, bon, magique avec toi, Cécilia. Je te
garderai toujours dans un coin tout chaud de ma tête. Ça fait un an
maintenant, Cécilia, et je pense à toi avec tendresse… encore.
Cécilia gémissait de plus en plus fort. Limite, elle criait presque de
plaisir. Elle ne se contrôlait pas. Elle ne se retenait plus, surtout.
Le plaisir avait pris possession d'elle et l'embrasait jusqu'à la
moelle. J'allais de plus en plus fort en elle. De plus en plus vite, par
conséquent. Cécilia, elle, continuait d'agiter ses doigts sur son
clitoris en doux mais rapides mouvements circulaires. J'avais desserré
un tout petit peu mon étreinte. Je l'avais fait pour qu'elle puisse
continuer de se masturber parce que ça me rendait fou de la regarder le
faire alors que mon sexe était en elle. Mais… j'avais beau avoir
desserré l'étreinte de mon corps contre le sien, je n'en étais pas moins
dans le feu de l'action. Et… justement… dans le feu de l'action, j'ai
posé ma main… sur son cou. Dans le feu de l'action, mes doigts se sont
lentement… et doucement resserrés sur sa gorge. J'avais cependant peur,
sur le coup, d'être trop brusque, trop bestial. J'avais peur de lui
faire mal. Qu'elle ne respire plus correctement. Et puis en fait…
– Da… vid ! Conti… nue ! Baise…-moi !
– Je te fais pas mal, Cécilia ?
– Mon cœur… Si j'aimais pas ça, je t'aurais pas laissé une seconde me le faire…
– Tu me le dirais, hein ?
– David… Je suis la meilleure des petites salopes, t'as pas oublié, j'espère ?
– Tu aimes être baisée…
– Voi… là…
Elle n'avait pas eu besoin de m'en dire davantage. Je la pilonnais,
désormais. Et je dois avouer que… ça me plaisait. Ses chairs trempées
m'accueillaient à présent de manière si fluide. C'était limite un
supplice de coulisser si facilement en elle… tellement était mouillée et
tellement elle se caressait et contractait les muscles de son périnée
et de son vagin pour mieux consommer le plaisir que nous lui donnions
tous les deux, à elle. Elle commençait sérieusement à être couverte de
sueur. Il faisait chaud en cet après-midi d'été. Forcément, notre partie
de jambes en l'air rendait nos corps chauds… et humides, moites. Deux
corps, l'un contre l'autre, tout en transpiration… mais tout en plaisir…
Je remarquais que Cécilia fermait soudain les yeux… Ça… Ça ne me
plaisait pas. Je voulais qu'elle me regarde. Je voulais qu'elle me
laisse… la regarder… l'admirer… lorsqu'elle allait jouir.
– Cé… ci… lia…
– Mon cœur…
– Ouvre… les… yeux…
– Ché… ri… Le plaisir que tu me donnes… C'est trop… bon. Je suis perdue.
Je n'y peux rien. J'aime… ce plaisir. Tu m'as vaincue… Je vais bientôt…
jouir…
(...)
– David…
Quand mon prénom est sorti de sa bouche, ça sonnait comme une plainte,
comme une supplication. Je la regardais, Cécilia. Elle avait de nouveau
les yeux ouverts. Et ses yeux… C'était comme si elle me suppliait de ne
pas la priver d'un orgasme. Avec mes yeux, rien qu'en lui parlant ainsi,
je lui faisais comprendre que j'étais attendri. J'ai hoché légèrement
la tête, comme pour lui dire que j'avais compris ce qu'elle avait voulu
me dire avec ses prunelles et qu'il n'y avait aucune raison que je la
prive de cet orgasme qu'elle espérait et qu'elle attendait de nouveau.
– Cécilia… Je sais ce que tu veux, et je vais te le donner. Ne
t'inquiètes pas… T'as pas oublié, j'espère, ce que je t'ai dit, tout à
l'heure ?
– David… David… J'ai… J'ai eu peur.
Ces mots ne me plaisaient pas. Oh… non. Ils ne me plaisaient pas le moins du monde.
– Peur de quoi, Cécilia ? Que tu ne sois qu'un objet que je baise sans que je pense à ton plaisir ?
– Quand tu as posé tes doigts et que tu les as serrés autour de mon cou
et que tu t'es mis à me baiser plus fort, je sais pas, j'ai cru que…
– … Que j'allais tirer mon coup de mon côté et que j'allais jouir et puis basta ?
– Y'a des mecs qui sont comme ça.
– Et tu crois, toi, que je suis comme eux ?
– David… C'est pas ce que j'ai dit.
– Cécilia… Tu te souviens de ce que je t'ai dit quand tu as voulu que je te pénètre ? Je veux le meilleur pour toi…
– Da… David… Je… Je suis désolée…
Elle a laissé s'échapper un sanglot. Puis deux. Puis trois. Et puis,
elle a fondu en larmes. Je n'ai pas trop compris pourquoi, pour être
honnête. IL fallait que l'on continue d'être corps et âme et sexe, l'un à
l'autre.
– Cécilia… Tu es si belle…. et si… bonne. Oublie tout ça. Tu es… bonne à baiser, et je demande que ça… Que tu jouisses…
– David…
Ce mot… «David»… Mon prénom… Pour le restant de mes jours, je me
rappellerai de la voix de Cécilia et de comment elle l'a prononcé. Sa
voix était tremblante, émue. Il y avait des trémolos dans sa voix,
c'était certain. Ses yeux étincelaient. Ils étaient brillants… si
brillants. Des larmes coulèrent le long de ses joues.
– Cécilia…
– David… J'ai beau vouloir me convaincre en moi que je peux être une petite salope, je ne suis qu'une jeune femme...
J'ai retiré ma main de son cou et le bout de mes doigts a séché ses larmes qui avaient commencé à couler.
– Laisse-moi à présent te faire l'amour de nouveau, tu veux ? L'a… mour…
– David…
Sa voix continuait d'être tremblante. Cécilia était une femme perdue,
vaincue. Là, c'était une armure qu'elle enlevait. Elle aimait que l'on
soit romantique avec elle. Le plaisir faisait intégrante d'elle et elle
était sur le point de céder à ses sirènes les plus intenses.
– David…
Elle soupira.
– Oui...
– Tu es si belle… Sois juste toi. C'est comme ça que tu m'as plu… C'est ce qui m'a donné envie de toi…
– David ?
– Hmmm… Oui… Cécilia…
– Allonge-toi…
– Si telles sont tes envies…
Nous avons changé ainsi de position, et je me suis couché sur nos
couvertures de fortune. Cécilia m'a tourné le dos. J'ai compris ce
qu'elle avait l'intention de faire : elle voulait s'asseoir sur moi et
me chevaucher.
– David… Tu as dit toi-même que tu me trouves… sexy…
– Quand tu te caresses… Je perds tout contrôle…
– Et si… justement… c'était à moi de… prendre le contrôle ?
– Et… on se ferait encore l'amour ?
– Hmmm… Oui… C'est ce que j'aime le plus… avec toi…
– Ma belle… Enjambe-moi… J'ai hâte… que tu t'empales sur moi…
– Joli garçon…
Elle a gloussé.
Que j'aimais… Mais que j'aimais quand elle était coquine. Quand elle
s'adressait à moi de sa voix aguichante, quand elle minaudait. Quand
elle se faisait… salace. Quand elle gémissait. Quand elle pleurait…
parce qu'elle avait joui. Quand elle gloussait. Oh oui… Je n'en avais
pas connu des beaucoup, comme Cécilia.
– Cécilia…
– David…
– Je veux de nouveau être en toi… Maintenant !
– Hmmm… Moi aussi…
– Alors… Ne perdons pas de temps… Je t'en prie ! Ne me fais pas languir !
– Ça, il en est pas question, David !
– Ni une, ni deux… Cécilia me tourna le dos et vint s'accroupir de telle
sorte que son minou retrouve le chemin et le contact de mon pénis. Je
sentis ses fesses et son entrejambe contre moi. LÀ, je me rappelais ce
qu'elle avait dit un tout petit peu plus tôt, quand je l'avais faite
jouir avec mes doigts et ma bouche et qu'elle en avait pleuré : elle se
sentait bien en ma compagnie et elle aimait beaucoup avoir et sentir mon
corps contre le sien.
– David…
Elle avait toujours le même grain de voix, ma belle Cécilia : doux, ému,
tremblant, tendre. Caressant. C'était intime, ce que nous vivions, bien
que le paradoxe de tout ça, c'était que nous étions en plein air et que
nous nous donnions en spectacle, si l'on pouvait dire les choses ainsi.
– David…
Elle soupirait et sa voix était toute douce, comme si elle me murmurait à l'oreille, Cécilia.
Ah… Cécilia… Qu'est-ce que tu as fait de moi, cet après-midi là ? Je
n'étais plus moi-même, en ta compagnie, tout contre ton corps. Tu m'as
porté l'estocade et je ne pouvais plus rien faire… à part succomber au
plaisir et le savourer… en jouir avec toi.
– David… Ta queue me manque déjà… Elle est si bonne… Si grosse… Elle est
parfaite pour moi. Et elle va me faire jouir… C'est si… bon… entre
nous…
Et sitôt qu'elle a prononcé ces mots, je sentis sa main sur son
érection. Elle empoignait doucement mais sûrement mon sexe. Je sentais
quelque chose de chaud, d'humide mais de doux : Cécilia frottait mon
membre contre son sexe et se caressait un peu avec.
– Oh mon… dieu !
Je lui ai répondu avec mes deux mains qui se posèrent sur le bas de ses
reins et qui sont tout de suite remontées sur sa toute petite poitrine.
– David… Ah…
Cécilia était maîtresse dans l'art délicat de pousser des soupirs de plaisir, ce n'était pas possible !
– Tu aimes te masturber, toi, dis-moi !
– J'adore ça… Je laisse libre cours à mes fantasmes les plus inavouables, quand je me branle le clito...
– Juste le clito ? Ou bien aussi des doigts dans ta chatte et dans ton
cul…? Et tu imagines que tu portes pas de culotte et que tu te fais
baiser en plein air par exemple?
– Tu as tout compris, joli garçon…
– Tu es décidément une sacrée petite coquine, toi…
– La meilleure de petites salopes, ne l'oublie pas…
– Je n'oublie pas. Comment peut-on oublier, ma belle ?
– Te cache pas, mon beau David. Je vois tes yeux sur mon corps… Je sens
tes mains sur mon corps… J'en perds pas une miette, tu sais ? Je
comprends mieux ce que t'as dit tout à l'heure…
– Ah oui ?
– Ce n'est pas toi qui m'as ensorcelée, David… C'est… MOI… qui t'aies jeté un sort…
– Petite… vicieuse…
Elle a gloussé pour répondre à mon propos salace.
– J'aime… faire… l'amour...
– Ça, je l'avais compris, Cécilia…
– Pas comme tu le penses, ché… ri…
– Ah… ouais ?
– Ouais...
– Tu m'intrigues, là, ma belle…
– En fait… j'aime… varier… les plaisirs… Des plaisirs, divers… et
variés… Hmmm… C'est ce que je préfère… L'amour… La baise… C'est ce qui
me fait… jouir...
Et pendant que l'on se parlait, elle avait encore mon érection dans sa
main. Elle l'avait toujours bien en main, et elle continuait de la
frotter contre son abricot bien mûr, bien éclos, à présent. Elle en
gémissait. C'était si… bon…
– Miss… Si tu continues comme ça, je ne répondrai de rien si je jouis dans ta main…
Elle en a gloussé, mais, surtout, ça l'a de nouveau fait gémir.
– Oops…
Elle a rit de manière coquine.
– Ça, c'est pas du tout mon intention. Ché… ri…
– Al… ors… fais-moi… en… trer… en… toi…
– Tu l'aimes, ma chatte, hein !
– Cé… ci… lia…
J'ai prononcé son prénom comme si je la mettais en garde sur quelque chose. Ou… plutôt… comme si… je la réprimandais.
Elle tourna la tête dans ma direction, et elle secoua les épaules de
manière faussement innocente. Ah non ! Pas avec moi, ce jeu ! Elle
voulait se la jouer vierge effarouchée ? Très bien. Il fallait alors
qu'elle en assume les conséquences.
– Quoi, David ?
Je fronçais les sourcils. Je faisais hausser l'un d'entre eux.
– Je sais très bien ce que tu fais, là…
– Et qu'est-ce que je fais, là, d'après toi?
– Toi… Tu joues avec moi, là… Tu me fais languir… C'est pas bien d'allumer un garçon alors qu'il t'a dans la peau, tu sais ?
– David… David… C'est pas mon intention, et tu le sais.
– Fais… moi… entrer … en… toi, a… lors.
– Bébé…
Sur le coup, j'avais comme l'impression que mes mots n'avaient que peu
de portée car je sentais toujours mon membre… en particulier mon gland
qui se frottait à sa porte du plaisir… mais sans toutefois pénétrer à
l'intérieur… Et puis, en fait…
Je n'ai plus senti sa vulve toute chaude, toute douce, toute mouillée.
Pourtant, je sentais, encore et toujours, cette emprise douce mais
assurée autour de mon érection.
– Cé… ci… lia !
– Mon cœur… Tu as envie de moi… J'en ai parfaitement conscience, tu sais ? Et moi aussi, j'ai envie de toi…
– Qu'est-ce que tu attends, alors, Cécilia ?
– Tu veux le meilleur pour moi… T'as déjà oublié ?
– Pa… Pardon. Pardon, princesse. Excuse-moi.
– David… Tu as envie de moi. Très… envie de moi. C'est pas grave… Ma petite chatte vibre, elle aussi… Elle vibre pour toi… Elle n'attend
plus que ta queue…
Elle avait beau être à califourchon sur moi et me tourner le dos, elle
s'est saisie de ma main droite et elle l'a amenée à sa vulve. C'était
tout mouillé, par-là.
– Da… vid… Tu sens comme je suis toute douce… ? Tu sens comme je suis si mouillée… ?
Je n'ai pas pu réprimer un gémissement.
Cécilia me tenait la main et me faisait la caresser. Ces caresses
avaient beau être superficielles, c'était beaucoup pour elle comme pour
moi.
– Oh !
– Que se passe t-il, Cécilia ? Je t'ai fait… mal ?
– Nooonnn, David… Pas du tout… Au contraire ! Tes doigts sont si… bons ! Ils sont si doux… et si cochons !
– Toi, tu l'es… cochonne…
Réponse de Cécilia ? Elle a gloussé.
– Mmmh… David… C'est… TOI… qui me rends… cochonne, là…
– Je croyais que TU aimais TE caresser…
– N'est-ce pas ce que je fais, mon beau David ?
– Avec… mes doigts, miss…
– Précisé… ment…
– Pe… tite vicieuse…
Et un nouveau gloussement, un...
– Quand je me caresse… C'est… à TON plaisir… que je pense… chéri…
– Cécilia…
– Et à ta… jouissance… Et à ton sperme…
– Petite vi… cieu… se…
– Ton sperme sur mon visage… Dans ma bouche… Sur mes petits seins que tu
sembles beaucoup aimer… Sur mon ventre… Dans ma petite chatte… Sur
mon… cul !
– Cé… ci… lia !
– T'as pas oublié ce que tu m'as dit, pendant nos préliminaires ? «Je te ferai tout ce que tu voudras...»
– Je n'ai pas oublié, ma belle.
– Bien. Nous sommes sur la même… longueur d'onde, joli garçon…
– Cécilia… Ma belle… C'est ton plaisir et ta jouissance que je veux… Tu le sais...
Nous nous sommes regardés. Cécilia avait toujours ma main dans la sienne.
– Joli garçon…
– Belle demoiselle…
– Nous sommes si bien…
– Cécilia…
– Oui, mon cœur ?
– Je te sens… Tu es toute mouillée… Inondée…
– Et… ?
– Et… ne perdons plus de temps… Tu ne demandes qu'à ce qu'on te fasse l'amour… J'ai raison ?
– Da… vid… Tu… sais….
– Je veux le meilleur pour toi…
– Joli garçon… Je le sais...
Ni une, ni deux, elle continuait, encore et toujours, à se caresser avec
mon membre. Et puis, elle l'a de nouveau introduit en elle. Je
retrouvais de nouveau la douceur… la chaleur… la moiteur de son sexe.
C'était si… bon…
D'instinct, j'ai gardé mes mains posées sur sa poitrine menue. Cécilia en a gémi de plaisir.
– Da… vid! C'est ça ! C'est ça ! J'ai… me ! Continue !
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