Summer of Love 16
(...)
- Mmmh... Embrasse-moi... Théo...
Ah les lèvres vanille de Bérénice... Je ne peux pas y résister. J'ai
toujours le même plaisir à y poser les miennes. Je prends toujours
autant de plaisir à embrasser Bérénice, matin, midi et soir.
- Ché...ri. J'aime que tu m'embrasses. Oui...
- Ma jolie coccinelle... Ma belle femme...
- A...mour...
Et elle soupire.
Elle prend mon pénis dans sa main et elle me retire en douceur de son
anus. D'instinct, je me mets de nouveau sur le dos car je me doute bien
qu'elle a envie de se positionner sur moi et qu'elle veut s'adonner à
une énième partie de baisers avec moi.
Et... je n'ai pas tort.
Mes doutes, si je puis dire, se révèlent justes.
Bérénice, sa belle poitrine nue joliment mise en avant, s'allonge et se love toute contre moi.
- Mon amour... Ah......
Elle soupire... pour la je-ne-sais-pas-combien de fois.
- T'inquiètes pas, chéri... J'aime que tu me prennes par le cul, tu sais ?
Elle soupire. Et dans le même temps, elle semble reprendre son
souffle... qui est court. Je le vois à ses lèvres entrouvertes, en O.
Je le vois à sa gorge. Je le vois à ses narines. Je le vois à sa
poitrine qui tressaute. Elle souffle, elle inspire, elle expire.
Elle est bien.
- Mais je crois que tu m'as assez remplie pour notre première sodomie.
Ce qui ne veut pas dire que j'en ai fini avec toi, hein! Je suis
insatiable de toi, Théo...
Je gémis de plaisir quand j'entends ces mots. Bérénice n'a en rien perdu
de ce don qu'elle a de me faire fondre. Moi aussi, je raffole d'elle.
Je ne peux tout simplement pas me passer de Bérénice dans ma vie.
- Toi... Tu n'aurais pas une idée derrière la tête, chérie, par hasard...?
- Mmmh... Peut-être...
- Pas de peut-être avec moi, pupuce. Pas maintenant.
Là, en entendant mes mots, c'est à son tour de gémir de plaisir.
- Mon amour... Et si je te prenais... dans ma bouche et si je te suçais
pendant que tu me lèches ma belle chatte et que tu me doigtes ?
Hmmmm... Qu'en dis-tu ?
Rien que quand elle dit ça, elle me mène et m'emmène encore un peu plus
près de ces précipices que sont la jouissance et l'éjaculation.
Et moi aussi... je veux avoir de nouveau sa mouille en bouche.
Moi aussi... je veux l'amener à l'orgasme...
- Bérénice... Mon amour... J'accepte tout... Je te ferai tout... Tout ce que tu veux... Rien que pour toi...
- Mon a...mour! Oh oui! Je veux ! Je veux !
- Ma jolie coccinelle...
- Tu sais que j'aime te prendre... dans ma bouche...
Je gémis de plaisir, rien que quand j'entends ces mots qui sortent de la
bouche de Bérénice. Ces mots me rappellent bien des moments câlins,
coquins que nous avons passé au lit, elle et moi. Comme cette fois
mémorable où elle m'a sucé avec passion et où elle m'avait pris
profondément, jusqu'à sa gorge. Au comble du plaisir, au paroxysme de
l'abandon, j'avais lâché prise... et j'avais joui, longuement, sur son
ventre. Et quand nous nous étions faits un câlin, juste après, ce fut là
qu'elle m'avoua que ses jolis seins lourds étaient très sensibles et
qu'elle adorait qu'on les lui caresse.
- Tu sais que j'aime... quand tu me lèches... et quand tu me doigtes...
Je soupire quand j'entends Bérénice prononcer ces mots. Je voyage dans
le temps, et je me revois tout à l'heure, quand je lui caressais les
seins et que je posais mes doigts doucement sur sa vulve mouillée. Elle
m'avait émoustillé, et je n'avais alors plus envie que d'une seule chose
: poser ma langue... mes lèvres... sur son minou tout humide, salé,
gorgé de nectar féminin capiteux... mais délicieux. J'avais
particulièrement joui de ce moment où j'avais le visage entre ses
cuisses bien écartées. Je lui avais distillé des coups de langue divers
et variés : lents... plus rapides... sensuels... plus vifs... pendant
que mes doigts étaient enfoncés en elle et qu'ils allaient et venaient.
Je lui avais demandé de caresser ses seins sensibles pour qu'elle aussi,
elle se donne du plaisir. Et quand j'ai senti qu'elle était plus que
mouillée, qu'elle était carrément trempée, je lui ai demandé qu'elle se
mette à quatre pattes... afin que je m'occupe... de son petit cul.
- Ché...ri...
- Jolie coccinelle... Ma jolie coccinelle...
- Reste comme ça.
- Toi, tu as quelque chose de précis en tête...
- Hmmmm... Oui... Mon chéri... Et ce quelque chose... je viens de t'en
parler... Reste comme ça... et ne bouge plus... Que je te présente mon
cul. Mais cette fois, c'est ma chatte que tu vas
lécher...
- Très bien.
- Et moi, je vais m'allonger au-dessus de toi... et je vais te prendre... dans ma bouche...
- Je vais te prendre... tout entier... dans ma bouche, chéri...
Je soupire.
- Et toi... tu poseras tes lèvres... ta langue... sur son minou...
De nouveau, je soupire.
Je vois Bérénice qui se place sur moi.
Nous sommes dans la position dite du "69".
Bérénice me chevauche. Elle tend l'une de ses mains vers mon pénis tout
dur. Elle fait glisser le prépuce et elle me décalotte. Elle se met à
faire des va-et-vient. Elle me caresse tout doucement. Très
délicatement.
Elle a retiré au préalable le préservatif qui couvrait mon membre.
J'ai conscience que mon gland est humide. Du liquide séminal s'écoule de
mon méat. Je suis tellement excité, il faut dire. Bérénice m'excite
énormément. Quand elle s'habille... Quand elle se déshabille... Quand
elle parle... Quand elle ME parle... Quand elle se caresse... Quand elle
ME caresse...
- Oh mais ta queue est toute mouillée, à toi aussi, mon amour !
Elle glousse.
Elle approche sa main de sa bouche et elle se lèche le plat de cette fameuse main.
Ça, ce petit spectacle émoustillant, je n'ai malheureusement pas le
plaisir de le voir. Non... C'est parce que Bérénice, ma jolie
coccinelle... ma pupuce... ma princesse... ma reine... m'a présenté son cul. Je l'ai sous les yeux. Sous mes yeux. Très nettement.
Elle remue les fesses. Je les vois se dandiner. Moi? Je pose mes mains
sur les courbes généreuses de son derrière. Je les prends à pleines
mains. Je les palpe. Je les malaxe. Je les caresse. Je m'arrime à
Bérénice par le biais de cette étreinte.
J'approche ma bouche de la peau rose pâle de ses fesses. Mes lèvres sont
en première ligne. Et aussitôt dit, aussitôt posées, mes lèvres
touchent ces deux globes voluptueux. Elles y goûtent. Elles y regoûtent.
Elles raffolent de ce fruit mûr, gorgé et trempé de cyprine, de salive
et de lubrifiant qu'est le cul de Bérénice.
- Mon a...mour! Oh oui ! Oui! Oui! Oui! S'il te plaît... Conti...nue!
J'aime ta bouche... sur mon cul. Et je veux ta bouche... sur ma
chatte...
Sitôt qu'elle dit ça, elle se reconcentre et elle poursuit les
va-et-vient qu'elle a commencé à faire sur mon pénis. Elle me branle
tendrement mais énergiquement. J'aime ça...
J'en gémis bruyamment de plaisir.
Quant à moi, ma bouche en première ligne, je porte mes lèvres... ma langue... sur la vulve.
Je lèche de nouveau Bérénice...
Le sexe de Bérénice est délicieux. Sa mouille est douce. Chaude.
Agréable. J'aime tout simplement la recueillir sur ma langue, l'avoir en
bouche.
Mes mains sont de nouveau posées sur ses fesses et elles les écartent.
Je veux... Je recherche toujours un accès idéal à son intimité. C'est ce
qu'il y a de mieux pour lécher Bérénice, la satisfaire... et lui donner
autant de plaisir que possible. Oh... oui. Continuer de lui faire
l'amour, là, avec mes lèvres... avec ma langue... jusqu'à espérer lui
faire vouvoyer, tutoyer les étoiles.
- Mon amour... Mon a...mour... Oh oui ! Oui ! Ta langue ! Je la sens, ta
langue ! Je la sens bien... Elle est agréable... Tu me lèches bien...
J'aime... sentir ta langue me caresser... Continue...
Soudain... je n'entends plus Bérénice. Elle semble s'être arrêtée de parler.
Et puis je comprends mieux... : il me faut faire un tout petit effort
afin de rapprocher un peu mon visage de son derrière... et de son minou.
Bérénice, elle, s'est comme allongée sur moi et elle a cambré son dos.
Elle a approché son visage de mon membre. Son corps est au-dessus du
mien. Et... telle qu'elle est à présent... son corps me touche et me
caresse. Je sens ses beaux gros seins se poser sur ma peau. Ils sont
chauds. C'est agréable. C'est émoustillant.
- Mon a...mour... Prépare-toi... Ce matin, il n'y a pas que moi qui dois
prendre du plaisir. Mon joli oiseau... Ne penses plus à rien... sauf à
moi et à ma bouche... Sauf à notre 69... Sois spontané... Continue de me
lécher comme tu le fais si bien... J'aime ça... Et moi, je vais te
prendre... dans ma bouche...
Aussitôt dit... aussitôt fait. Je sens quelque chose d'humide et de
chaud qui se pose sur mon pénis... et qui le prend. C'est sa bouche. Ses
lèvres... Ses putains de lèvres vanille... m'entourent. Elles enrobent
mon gland. Elles coulissent doucement, lentement, de haut en bas, de bas
en haut. C'est agréable. C'est délicieux.
- Hmmm... Hmmm... Hmmmmm...
Bérénice ne se contente pas de me tailler une pipe. Non... Elle sait
parfaitement qu'elle m'excite, la coquine, quand on est intimes et
qu'elle fait en sorte que sa voix soit différente. Aiguë... Sexy...
Sensuelle... Aguichante... Douce...
Quand je lui disais un peu plus tôt qu'elle est bonne à marier... Bah
voilà. C'est elle, la femme avec qui je veux passer le restant de mes
jours. Celle que je veux protéger. Celle avec qui je veux m'endormir.
Celle que je veux avoir à mes côtés au réveil. Celle avec qui je veux
partager les repas. Celle à qui je veux faire l'amour de toutes les
manières possibles et inimaginables. C'est aussi simple que ça.
Sur ces pensées, je me reconcentre. Ma langue s'approche de son sexe.
Elle se pose sur les nymphes roses, écartées, mouillées. Elle les lape.
Elle butine dessus.
Je lèche Bérénice.
Bérénice me suce.
Hmmmmm...
Ma langue va et vient sur la peau rose claire du sexe de Bérénice qui
continue de mouiller... encore... et encore... et encore...
Le minou de Bérénice est si... bon. J'aime y poser ma langue, y donner
des coups de langue, tantôt lents et sensuels, tantôt rapides et plus
vifs. J'aime y poser mes lèvres, prendre ses nymphes, tantôt les sucer
avec gourmandise, goulûment, tantôt les suçoter de manière plus...
douce.
Mes caresses ne laissent pas Bérénice indifférente. Oh... non. Elle
n'est pas du tout passive, inactive ou bien farouche. Je sais bien
qu'elle adore les cunnis que je lui fais... et qu'elle en raffole.
J'ai beau prendre ses fesses à pleines mains et les écarter pour
continuer d'avoir un accès optimal à sa porte du plaisir, elle,
Bérénice, secoue son derrière généreux et le remue impudiquement tout
près de mon visage. Elle sait bien, Bérénice, que quand elle fait ça,
elle m'excite.
- Hmmm... Mon a...pour! Oui! J'aime... J'aime... J'aime... quand tu me lèches comme... ça ! Oui!
Elle gémit bruyamment.
Je n'entends plus que Bérénice. C'est normal, en même temps : de
nouveau, le plaisir s'empare d'elle. Le fait qu'elle soit à califourchon
sur moi ET à quatre pattes l'excite beaucoup.
Dans l'intimité de notre chambre, dans notre lit, sur notre couette,
contre les draps, Bérénice se transforme et n'est plus la même. Elle se
dévergonde... et ça me plaît. J'aime ça... Elle est plus tendre. Plus
douce. Plus... tactile. Plus joueuse.
Plus... coquine. Plus... sexy.
- Mon a...mour ! Ta langue est... bonne ! Je la sens si bien en moi...
Tu sens, toi, mon clitoris vibrer au contact de ta langue ? Tu sens m'a
mouille couler quand tu me lèches mon sexe ?
Pour toute réponse, je redouble d'ardeur et je renforce mon emprise et
mon étreinte sur sa croupe. Cela lui fait cambrer davantage le dos.
Elle, elle pose ses mains de part et d'autre de mon entrejambe, sur mes
aines. Je sens de nouveau ses lèvres chaudes, roses, pleines qui se
posent sur mon sexe et qui s'en emparent. Ses lèvres, en forme de O enrobent mon gland. C'est une torture qu'elle me fait endurer, Bérénice,
mais c'est délicieux. Que c'est agréable de se sentir pris... Mais que
c'est agréable...
À moi de lui rendre la monnaie de sa pièce. Je le veux.
Je prends ses nymphes entre mes lèvres. Ma langue glisse sur son
clitoris. Elle lui donne des petits coups. Ma langue coulisse le long de
sa fente. Elle y donne des coups plus rapides.
Je lèche Bérénice goulûment...
Hmmmmm...
C'est trop... bon...
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