Summer of Love 17
Je me fais délicat alors que ma langue
coulisse le long de la fente de ma pupuce. De mes deux mains, je
m'arrime à elle. Je me suis emparé de ses fesses voluptueuses, et je les
prends à pleines mains.
J'ai conscience que ça doit limiter Bérénice dans ses mouvements pendant
qu'elle me prend dans sa bouche et qu'elle me suce dans le même temps
où moi, je lui fais de nouveau un cunni.
- Mmmh... Bérénice...
Je ne sens soudain plus cette calanque humide, douce et chaude qui
s'était emparée il y a peu de mon membre, qui l’engloutissait et qui le
prenait entre ses lèvres vanille gonflées.
- Mon cœur...
- Elle est trop... bonne, ta bouche, sur ma queue ! Douce... Chaude...
Humide... Putain d'agréable... J'aime...quand tu me fais une pipe,
Bérénice...
- Hmmm... Moi... aussi... A...mour... C'est quelque chose que j'adore...
et qui m'excite... Tu sens comme ça m'excite, Théo ? Tu le sens ?
- Et quand je te lèche le minou pendant que tu me pompes... Ça... t'excite... aussi ?
Bérénice a beau ne me répondre que par un gémissement, pour moi, c'est
éloquent et ça veut dire ce que ça veut dire. Bérénice en est toute
émoustillée. Toute excitée.
Le bout de ma langue s'agite, lentement et doucement puis plus
rapidement et plus vivement, le long de la fente mouillée, gorgée de
miel féminin de ma petite amie et future épouse. Des petits coups
sensuels puis ma langue qui tourbillonne mais qui reste agréable à la
caresse. C'est si bon ce que je goûte, ce que j'ai en bouche. De mes
deux mains, j'écarte les fesses de Bérénice, et c'est limite comme
lorsque l'on ouvre un abricot en deux. La partie la plus juteuse... la
plus délicieuse... se trouve à l'intérieur. Et là c'est là où je mets la
langue...
Elle a beau avoir ses mouvements limités du fait que je m'arrime à elle,
Bérénice, ça ne l'empêche pas le moins du monde à remuer les fesses.
Toutes proportions gardées, c'est comme si elle twerkait. Ses fesses
enserrent mon visage, délicatement, et moi, je lèche Bérénice. Je ne
m'en lasse pas.
Elle ne m'a pas encore repris en bouche. Dans sa bouche... Je sais que
ce n'est que partie remise, que ce n'est qu'une question de temps. Là,
Bérénice jouit de mes lèvres... de ma langue... sur sa chatte
juteuse, appétissante. Elle jouit d'être touchée, caressée, léchée, la
jolie coccinelle.
Oh... oui.
- Oh mon... dieu! C'est trop... bon! C'est trop bon, ce que tu me fais
là, Théo ! Encore... Encore... En...core! Je sens le plaisir monter en
moi... Continue... Continue... T'arrêtes pas... Je le... sens... Je
sens... le plaisir... en moi...
Un peu comme un chat qui boit du lait dans un petit bol, mais là, sans
la langue râpeuse du félin, je lape le sexe de l'amour de ma vie. Et...
j'aime ça...
Ses fesses, écartées tel un fruit que l'on a ouvert en deux, Bérénice
est accueillante. Son sexe a beau avoir un duvet de poils, moi je l'aime
bien, sa pilosité pubienne. Et, même si c'est son corps et qu'elle fait
ce qu'elle veut de son intimité, j'aimerais qu'elle continue de les
garder à l'avenir, ses poils tout doux. Fort heureusement... et...
coïncidence ! Bérénice n'a pas du tout l'intention de renoncer à sa
toison pubienne.
Bérénice m'émoustille, tout entière. Ses yeux... Sa bouche... Son
sourire... Sa voix... Sa manière de glousser... Ses gémissements... Ses
cris... Son corps... Ses beaux seins lourds... Son ventre plat... Son
nombril... Ses flancs... Son mont de Vénus... Son sexe... Sa fente...
Ses fesses généreuses... Son anus que j'ai véritablement pénétré pour la
première fois... Ses jambes musclées, juste comme il faut... Ses creux
poplités... Ses genoux... Ses mollets... Ses petits petons...
Bérénice... Vois ce que tu as fait de moi...
Je m'arrime à elle fermement. Encore une fois, j'ai conscience que je ne
lui laisse pas une grande marge de manœuvre alors que je prends son cul
à pleines mains et que je le maintiens grand ouvert.
Les événements se bousculent et s'enchaînent : Bérénice n'est pas
inactive, passive. Loin de là. De toute façon, je la connais, la jolie
coccinelle... Et elle ne supporte pas de ne pas pouvoir faire quoique ce
soit pendant nos ébats. Non... Elle aime déployer et montrer ses
charmes au grand jour. En user et en abuser, comme bon lui semble,
jusqu'au paroxysme, jusqu'à la jouissance...
Les événements se bousculent et s'enchaînent : Bérénice glousse.
Bérénice a son petit rire coquin, caractéristique de son état d'esprit
lorsqu'elle est avec moi, différente, dans un autre mood, dans
l'intimité de notre chambre. Bérénice peut prendre les devants et
décider de la tournure des évènements, comme bon lui semble.
- A...mour... Mon a...mour... Je m'apprête à te reprendre... dans ma bouche..
- Bérénice... Tu es toujours aussi coquine depuis notre première nuit... dans cette chambre d'hôtel...
- Tu n'as pas oublié...
- Comme j'oublierais ? Ja... mais... Je suis tombé pour toi, Bérénice. À
tout jamais. Vois ce que tu as fait de moi... Vois ce que tu fais de
moi, jolie coccinelle.
Elle glousse. Elle ne peut pas s'en empêcher, la pupuce...
- Et j'en suis heureuse, mon amour...
Elle glousse.
Elle ne peut définitivement pas s'en empêcher.
- Ché...ri... Que tu me désires... et que tu... m'attendes...que tu me réclames, moi, tout entière... J'en mouille...
Elle dit ça. Elle n'a aucune idée de la portée des mots qu'elle vient de prononcer, là.
Elle vient de jeter de l'huile sur le feu, c'est sûr.
Il ne m'en fallait pas plus.
Je vérifie par moi-même. Je le veux.
Elle est drôlement, sacrément... mouillée, la pupuce...
- Tu... sens, chéri? Tu... goûtes ? Je... mouille... J'en finis plus de
couler... pour... toi... Et là... je te prends... dans ma bouche...
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