Tiffany, institutrice... coquine
Une
 fois encore, ça n'a pas été une journée de tout repos. Par contre, une 
chose est sûre: j'aime mon métier. Certes, c'est ma première année comme
 institutrice. J'ai obtenu mon Master enseignement et mon CRPE cet été. 
C'est donc mon premier poste et je n'en finis pas d'apprendre. On dit 
qu'on n'en finit jamais d'apprendre, n'est-ce pas? J'apprends à la fois 
de mes collègues, de mes erreurs, de l'expérience que j'acquiers au 
quotidien. Pour mon tout premier poste, c'est une classe de grande 
section de maternelle dont je suis responsable. Je leur apprends 
l'alphabet, les animaux, les couleurs. Je leur apprends à s'exprimer, à 
se mouvoir dans le monde qui les entoure. Oui. Je suis aussi bien 
épanouie dans mon boulot que dans ma vie privée, avec mon petit ami 
Rémi.
Je
 m'appelle Tiffany et j'ai vingt-trois ans. Je mesure un mètre 
quatre-vingt pour cinquante-sept kilos. J'ai de longs cheveux bruns que 
j'aime laisser libres, voler au vent mais ça m'arrive de les attacher 
dans un chignon. Ça me rappelle les matrones romaines de l'Antiquité, 
une période de l'Histoire qui me fascine, je l'avoue. Mes yeux sont 
marrons et j'ai de beaux gros seins ronds aux larges aréoles roses 
pâles. Je n'ai ni tatouage ni piercing. Un fin ticket de métro orne mon 
mont de Vénus et ma chatte est toute belle, toute rose.
Je
 suis en couple avec mon compagnon Rémi depuis deux ans. Nous nous 
sommes rencontrés un soir de janvier 2020, avant la Covid-19 et les 
différents confinements que nous avons vécu. En parlant de ces 
confinements... Ça a été précisément pendant ces périodes où notre 
histoire d'amour a évolué et qu'elle s'est cristallisée. Et...Depuis...
Rémi
 a vingt-neuf ans. Il est grand et il est musclé, juste ce qu'il faut. 
Il est beau gosse. Ses cheveux sont coupés courts et il est imberbe. Lui
 aussi n'a ni tatouage ni piercing sur son corps.
J'avais
 hâte de le retrouver, une fois ma journée à l'école terminée. Je 
pensais à Rémi pendant que j'attendais que les enfants quittent le 
complexe scolaire, pendant que les parents m'attendaient pour 
s'entretenir avec moi au sujet de leur enfant. Entre le moment où la 
sonnerie annonçant la fin de la journée et celui où je me suis retrouvée
 seule dans ma salle de classe, je ne sais pas combien de temps il s'est
 écoulé. J'ai pris mon temps pour ranger correctement mes affaires et 
autres équipements dans la classe. Ensuite, j'ai procédé à la même tâche
 mais pour mes affaires personnelles. Une fois que ça a été fait, à mon 
tour, j'ai quitté l'enceinte de l'école et je me suis dirigée vers ma 
voiture, une Seat Ibiza de couleur beige. Je me suis installée 
confortablement à l'intérieur et la première chose que j'ai faite, ça a 
été de mettre de la musique. J'ai connecté mon iPhone à mon véhicule via
 le Bluetooth. "Play my Drum" de Sandra Lyng... Très bien. Très bon 
choix. J'aime beaucoup cette chanson. Et... J'A-DORE faire l'amour en 
musique, en particulier quand ce genre de chansons résonne, peu importe 
où nous faisons l'amour, Rémi et moi. J'y ai pensé, pendant que je 
conduisais, et ce, même prudemment.
Je
 suis arrivée à notre appartement. J'avais chaud et mon cœur battait la 
chamade. Et pour être tout à fait honnête...  Je me sentais déjà 
humide...
J'avais
 les lèvres entrouvertes et le souffle coupé tellement j'étais sur le 
cul quand j'ai ouvert la porte de notre nid d'amour. Rémi était là et il
 m'attendait. Il travaillait sur son ordinateur portable sur 
je-ne-sais-quoi. Il était beau. Bon d'accord. Il est beau gosse, 
d'ordinaire. Mais là... Deux boutons du haut de sa chemise étaient 
défaits et exposaient à la vue du monde sa peau. J'en ai été... 
émoustillée.
J'ai
 posé mon sac à main, mon cartable ainsi que la housse de mon ordinateur
 sur le meuble de l'entrée de notre logement. Je n'ai pris ni le temps 
ni la peine de libérer mes cheveux en chignon, de retirer mes lunettes 
de vue. J'étais subjuguée par la beauté et la sensualité, par la 
virilité et le charme que Rémi dégageait. Ni plus, ni moins. Rémi était 
un appel aux plaisirs des sens et de la chair. Et j'avais envie de lui. 
Rien ni personne n'allait m'en empêcher. Ni une, ni deux, je suis allé 
rejoindre mon amoureux.
Rémi
 est resté sur la chaise où il était assis au moment où je suis arrivée,
 dans notre salle à manger. Moi? Je me suis assise... sur ses genoux. 
J'étais en chemisier blanc en soie et je portais un shorty noir en 
dentelle sous mes blue jeans. Je me suis jetée sur lui et je l'ai 
embrassé comme si ma vie en dépendait. Dans le feu de l'action, je me 
suis sentie fofolle, dévergondée. Libérée, délivrée, comme dit la 
chanson. Je me suis déchaînée sur les lèvres de Rémi. Peu m'importait si
 j'avais des mèches de mes cheveux qui s'échappaient de mon chignon. 
J'avais envie de lui. Mais vu comment il a enfoui sa tête entre mes deux
 gros seins blancs... Rémi me désirait. J'ai alors passé mes bras autour
 du cou de mon homme. J'ai un peu pressé sa tête contre ma poitrine 
ronde.
Rémi
 ne se l'est pas fait répéter deux fois: il a déboutonné les premiers 
boutons de mon chemisier. Insatiable, enivré par mes charmes, il ne 
s'est bien évidemment pas arrêté, le connaissant. Non. Il aime. NON! Il 
adore ma poitrine. Alors... Je l'ai laissé faire car je mourais d'envie 
qu'il s'occupe de mes seins comme bon lui semblait. Et effectivement....
 Ça a été... bon, comment il s'en est occupé.
(...)
Je
 suis allongée sur la table de la salle à manger. Je lâche complètement 
prise. Je ne sens que trop bien les lèvres, la langue de Rémi sur mon 
minou. Je me tortille tellement c'est... bon. Je m'abandonne, tout 
entière, à cet homme que j'aime... et qui me fait le plus délicieux des 
cunnis.
Je
 ne lâche pas Rémi d'une semelle. Ça me plaît de voir comment il s'y 
prend pour me donner ce plaisir que j'aime et auquel je dis volontiers 
oui. 
- Ô mon dieu...
Hormis
 les bruits divers et variés de plaisir qui s'échappent de ma bouche, je
 ne dis pas grand chose. Mais je sais que tout ça mis bout à bout, ça 
guide mon amoureux. Je suis pantelante. Mes seins pourtant déjà gros me 
semblent encore plus lourds. En bas, il m'est impossible de ne pas me 
rendre compte que je suis humide. Trempée. Dégoulinante de plaisir. 
J'empaume mes seins et je les presse l'un contre l'autre. J'ai de plus 
en plus de mal à respirer correctement. Bien que je sois concentrée sur 
les caresses que Rémi me fait, je me fais, me refais dans le même temps 
le film de nos ébats depuis que je suis rentrée.
- S'il te plaît! S'il te plaît! S'il te plaît!
Je
 pose un bras en dessous du galbe de mes seins, histoire de les 
maintenir encore un peu plus l'un contre l'autre. Le plaisir est 
intense. Mais j'ai envie de plus, de beaucoup plus. Je me remets 
debout... pour m'agenouiller tout de suite. Je déboutonne le jean de 
Rémi et je sors, ni une, ni deux, sa queue bien grosse, bien longue... 
et toute dure du boxer qu'il porte. Affamée, déchaînée, je la prends 
dans ma bouche comme une morte de faim. Rémi me guide en posant 
délicatement une main sur ma tête.
(...)
Toute
 humide, toute chaude, je me suis empalée sur la belle queue de Rémi. 
Qu'est-ce que j'étais bien dessus... Mon homme m'a bien évidemment aidée
 pour que je prenne mon pied. Ses mains étaient fermes et leur chaleur 
m'a donné la chair de poule. J'étais si bien... tellement bien que j'ai 
passé mes bras autour du cou de mon partenaire et que j'ai moulé mes 
lèvres sur les siennes avant de les presser davantage dessus. Déjà, les 
pénétrations m'ont mise dans un état second. Insatiable, déchaînée, je 
n'étais plus moi-même. Rémi a plongé sa tête dans mon cou. J'ai saisi la
 balle au bond et j'ai raffermi l'étreinte de mes bras afin que sa tête 
soit entre mes gros seins. Ça m'a rendu folle, ça.
J'ai
 continué de prendre mon pied en chevauchant Rémi, mais, de sa propre 
initiative, il a voulu que je lui tourne le dos. Très bien. Du moment où
 j'y trouve mon compte, à savoir prendre du plaisir... et jouir, les 
désirs de l'homme que j'aime et dont j'ai envie sont les miens. C'est 
aussi simple que ça. À ses côtés, je veux tout. Et ça a été donc ainsi 
que je me suis retrouvée à prendre à mon tour l'initiative des va et 
vient de son sexe dans le mien. Ses mains sur mon corps... Ça m'a rendu 
fofolle. J'ai alors tourné légèrement la tête et je me suis mise à 
galocher mon homme, dans le feu de l'action. Dans ces moments-là, 
j'oublie tout... et je vis le moment présent. On ne sait jamais de quoi 
demain sera fait, n'est-ce pas? Jouisseuse et coquine comme je le suis, 
je me suis donnée. Abandonnée...
Toujours
 en forme et... insatiable, lui aussi, Rémi m'a fait me cambrer en 
faisant en sorte que je pose mes mains sur la table à manger pour que je
 m'y appuie. Ça a été ainsi qu'il m'a prise par-derrière. J'ai... 
beaucoup aimé ça. Nous avons beau ne pas beaucoup nous parler pendant la
 baise, nous nous regardons et en fait, nous nous disons tout comme ça. 
Depuis que nous nous connaissons, le sexe est toujours... bon. Un 
véritable plaisir et nous y disons oui. Allègrement. Et nous ne faisons 
qu'un, Rémi et moi, dans ces moments, en particulier, où nous faisons 
l'amour. Et là, prise par-derrière, je m'arrimais à la table. Je 
subissais les assauts de Rémi. Je subissais?? C'est mal me connaître, 
ça. Non... J'en ai joui, et pas qu'un peu.
(...)
Je
 me remets de mes émotions. J'essaie de retrouver mon second souffle. 
Bon d'accord. Rémi ne m'a pas épargnée, je dois le reconnaître. J'aime 
ça. Au comble du plaisir, il a éjaculé en moi. Lui allant en force ET en
 rythme à l'intérieur de mon vagin. Moi, justement subjuguée, à bout de 
souffle, les yeux mi-clos et les lèvres entrouvertes. J'étais limite 
avachie sur la table, allongée sur le dos. Rémi ne s'est plus contrôlé. 
Nous nous sommes mangés du regard. C'était intense. Et là, je me remets 
de mes émotions. Je sens le sperme de Rémi dans mon vagin. Je pense à ce
 que nous nous sommes dits, il y a peu de temps... Notre enfant...
    
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